Christine Panama - Histoires de Sexe

Christine Panama

... situation.

— Ça va ? a-t-elle dit en me caressant la jambe.
— Oui, oui… oui, je ne… en fait, je ne sais pas, c’est la première fois que je fais ça…
— Quoi ? a-t-elle répondu. Ses yeux maintenant me transperçaient, et son sourire attendait que je termine la phrase que j’avais commencée.
— Bah, ça, tu sais… ai-je dit en montrant le fauteuil où j’étais assis, cherchant mes mots.
— Tu parles de la sodomie ? dit-elle le plus naturellement possible.
— Oui !

Elle haussa les épaules, finit son verre, vit que le mien était vide et a pris mon verre.

— Tu en veux encore ?
— Oui, s’il te plaît…
— Tu parles de scotch, ou de baise… ? a-t-elle dit, coquine en se levant.

Je n’ai pu répondre. Je me retournai pour regarder ses fesses se diriger vers la cuisine et nous servir de nouveaux verres. Elle était sportive, elle était belle, ses fesses bombées me donnaient envie, sa taille je voulais l’entourer, ses cuisses les caresser, ses seins les mordiller, son dos le masser, son cul le lécher. Le baiser encore. Christine revint avec la bouteille.

— Ne sois pas mal à l’aise, Fred, avec ce que nous venons de faire, dit-elle alors que j’avais sa chatte devant mes yeux. Christine s’est rassise près de moi, par terre.
— Non, je ne le suis pas… mais toi ? Tu pratiques souvent ?
— Quoi ? a-t-elle questionné. Elle voulait vraiment m’entendre le dire.
— Tu pratiques souvent la… sodomie ?

Elle hocha la tête positivement, prit une gorgée, la fit tourner dans sa bouche. Puis elle ...

... me regarda fixement :

— Oui, j’aime me faire enculer, Fred.

Je n‘en revenais pas d’avoir enculé une petite amie du primaire. Si j’avais su lorsqu’on jouait au ballon ! Et qu’elle me parle avec des mots si crus !

Nous avons donc discuté longuement autour de la bouteille de scotch. Les sujets tournaient sur le sexe, des pratiques utilisées, de la sensation vécue. Nos corps nus l’un près de l’autre se sont rapprochés, se sont caressés, nous nous sommes embrassés, elle m’a chuchoté à l’oreille : « tu en veux encore ? » J’ai hoché la tête, elle a répondu « moi aussi ». Elle s’est retournée, me montrant ses fesses qu’elle a remuées, elle a marché à quatre pattes tranquillement jusqu’au fauteuil, elle s’est accoudée sur les coussins.

— Viens.

Je me suis levé, elle a rajouté de l’huile sur son anus, j’ai attendu un peu, observant l’application qu’elle mettait pour lubrifier à nouveau son petit trou. Je suis resté debout, j’ai plié des genoux pour pointer mon sexe vers son cul, elle a aidé l’introduction en écartant ses fesses de ses deux mains, gardant la tête et son torse contre le fauteuil. Je suis entré aisément en elle, elle a lâché un râle sourd, comme un soupir. Je suis sorti d’elle. Y suis retourné. Je me suis rendu compte que je pouvais vraiment m’amuser avec Christine. Je l’ai enculée comme j’avais toujours rêvé enculer quelqu’un.

Nous avons passé la nuit debout, la nuit couchée. Nous avons parlé de nos amours, ce que nous avions vécu dans la vie au niveau ...