1. Christine Panama


    Datte: 20/12/2020, Catégories: fh, amour, cérébral, Oral fsodo, québec, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... encore plus ses fesses et elle s’est appuyée sur mon pénis. Elle voulait se faire enculer, elle voulait elle-même se sodomiser. Elle a tourné du bassin, ses mains toujours sur ses fesses, et j’ai senti mon membre huileux pénétrer tranquillement, de lui-même, entre les fesses de Christine. Elle respirait fort, elle gémissait doucement.
    
    Elle a reposé ses mains sur mes genoux, j’ai arrêté de tenir la base de mon sexe. Et Christine s’est mise à danser. Je me suis laissé faire. Honnêtement.
    
    Elle savait ce qu’elle faisait. En se maintenant des mains sur mes genoux, elle a commencé à faire un doux va-et-vient le long de mon membre ; des fois, elle s’interrompait pour bouger seulement de quelques millimètres, avant de s’enfoncer profondément ; d’autre fois, elle montait sur mon chibre, s’arrêtait au niveau de mon prépuce, et ondulait du bassin, ou bien tournait comme une danseuse du ventre ; d’autre fois encore, elle englobait mon sexe à fond en lâchant un râle profond et en appuyant son dos contre mon torse. Je l’embrassais dans le dos, elle frémissait, et reprenait son jeu. En elle, c’était serré, chaud, je sentais des muscles encercler mon sexe, c’était bon ! Je caressais ses hanches, ses fesses, mes mains montaient dans son dos nu, j’avais envie de lui tirer les cheveux, et de la baiser de plus belle, mais je bougeais à peine du bassin : Christine savait se faire jouir du cul.
    
    De fait, en râlant au rythme de ses mouvements, son corps s’est mis à frétiller, elle a ...
    ... rejeté sa tête vers l’arrière, elle avait les yeux fermés, crispés et elle a crié. Puis crié encore. Je n’en pouvais plus, je crois que c’est là que j’ai joui, moi aussi. Ou bien avant ? Peut-être, mon pénis a bien pu garder son érection.
    
    Christine s’est retourné vers moi, m’a chuchoté :
    
    — Tu as joui ?
    — Oui.
    — Moi aussi…
    
    Puis elle s’est dégagée. J’ai regardé mon sexe, avec une peur soudaine de le voir souillé, ce n’était pas le cas. Christine s’est assise par terre, sur le tapis, et s’est accoudée à la table basse, les yeux rêveurs m’observant. J’en ai profité pour finir de me déshabiller et la rejoindre. Je l’ai embrassée et j’ai pris une grande respiration.
    
    — Wow, Christine… c’était… c’était…
    — Tu as aimé ? a-t-elle demandé, un peu gênée, le regard fuyant, avec la main devant sa bouche.
    — Oh oui, j’ai aimé…
    — Je me suis dit qu’il fallait se reprendre, notre première nuit n’avait pas été si… si…
    — Oui, en effet, mais là, Christine, tu m’as surpris… vraiment.
    
    Elle a ri un peu, elle a haussé des épaules, m’a offert le verre de scotch que nous avions oublié. Silence après l’amour, aidé par quelques petites gorgées brûlantes. Il y avait plusieurs questions qui me brûlaient la langue aussi. Mais je me suis retenu. Christine était belle, nue. Elle buvait son scotch, ses yeux me fuyaient un peu, puis se posaient sur moi. Elle a soupiré, m’a touché la cuisse de sa main douce, j’étais, je ne sais, j’étais un peu confus, hébété, moi-même un peu gêné par la ...
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