1. Christine Panama


    Datte: 20/12/2020, Catégories: fh, amour, cérébral, Oral fsodo, québec, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... sa cour, à l’arrière de sa maison. Les oiseaux chantaient, des chats se baladaient.
    
    Elle avait préparé un succulent poisson, avec des pommes de terre et une salade verte. Nous avons mangé à l’extérieur, la nuit était belle. Nous avons parlé un peu de son travail comme enquêtrice, elle m’a dit qu’en effet, quelques investigations étaient orientées vers la mafia italienne de Montréal, qu’il se passait des transactions louches, mais elle a effacé ce sujet de notre discussion :
    
    — Je suis en vacances actuellement, alors…
    
    Nous avons parlé des anciens amis d’école, du fait que pour la plupart, nous les avons perdus de vue. Nous avons même remarqué qu’une professeure de notre primaire était décédée.
    
    Je me souvenais de la finesse de sa peau, de la légèreté de ses cheveux, de la pression de ses lèvres contre les miennes. Il commençait à se faire tard. La bouteille de vin était vide, et Christine m’a proposé un apéritif, un scotch à déguster lentement, à l’intérieur.
    
    — On va au salon ? m’a-t-elle demandé en me caressant du bout des doigts mon épaule.
    
    Je l’ai suivie. Debout au centre de son salon aux lumières tamisées, près de sa porte-fenêtre donnant sur la montagne, nous avons chacun pris une petite gorgée du scotch, les yeux dans les yeux. Je ne savais si je devais initier l’action, mais après l’expérience quelque peu décevante de notre première fois, je voulais prendre mon temps, et ne pas être trop saoul.
    
    Christine a pris les devants. Elle a déposé son verre sur ...
    ... une table basse, s’est avancée vers moi sans presse, regardant mes lèvres, puis mon visage de près, elle a posé ses yeux sur mes biceps, les laissant filer sur torse, elle a tendu les lèvres, je l’ai embrassée tendrement. Son baiser était chaud, sa bouche ferme et brûlante. Elle a sorti la langue, j’ai voulu la bouffer, elle s’est dégagée puis m’a poussé vers un fauteuil plein de coussins :
    
    — Assois-toi là…
    
    Elle s’est accroupie devant moi, entre mes jambes, m’a caressé les cuisses avant de déboucler ma ceinture. J’ai tenté de l’aider en détachant le bouton de mon pantalon et le descendant sur mes mollets, elle m’a dit, d’une voix grave :
    
    — Laisse-toi faire…
    
    Alors elle a libéré mon sexe, elle l’a observé, le touchant du bout des doigts, faisant glisser ses index sur les côtés, ses pouces pressant l’urètre. Elle masturbait bien, j’en avais déjà eu la preuve. Elle a fait coulisser ensuite le prépuce, elle étudiait mon pénis comme une idole, et elle était assise sur ses talons comme si elle priait, les deux mains jouant avec ma verge tendue. Puis, elle a penché la tête, a fermé les yeux, a sorti sa langue, m’a léché les couilles, l’a fait voyager tout le long de mon membre pour ensuite englober mon gland. La sensation de sa bouche chaude m’a fait m’empêcher de respirer. Elle a caressé mes couilles d’une main tandis qu’elle apprivoisait mon sexe, flirtant avec sa longueur, sa grosseur, son goût, son odeur. Christine avait les yeux clos, et sa langue filait sur la peau ...
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