Christine Panama
Datte: 20/12/2020,
Catégories:
fh,
amour,
cérébral,
Oral
fsodo,
québec,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... Fred, comment peut-on le faire partir ?
Et le matin suivant, elle était là, dans mon lit, en train de me masturber sans qu’on ait échangé plusieurs phrases. J’aime me faire masturber sans rien offrir en retour, égoïstement, et Christine semblait y prendre plaisir, car elle me fixait en prenant de grandes respirations et faisant aller ses doigts sur mon sexe. C’était bon. Mieux que ce qui s’est passé durant la nuit.
En effet, j’ai eu quelques peines à faire partir Ian, qui voulait rester :
— Il y a encore des bouteilles !
Et quand finalement il s’est aperçu que Christine resterait chez moi, il s’est excusé, puis est parti. Rapidement, Christine et moi nous sommes embrassés. C’était ce que nous voulions. Effrénés, nous nous sommes déshabillés, j’ai caressé son corps et je nous ai précipités au lit. Je voulais la prendre, la pénétrer. J’ai eu de la difficulté à la pénétrer, j’étais mou, dû à l’alcool, non au désir. Parce qu’excité je l’étais : je suis entré en elle, je crois bien, mais en suis ressorti aussitôt. J’ai éjaculé sur les poils de sa chatte. Christine a ri, a simplement dit :
— C’était cool.
Et nous nous sommes endormis. Comme baise, ça n’avait rien d’extra, malgré la douceur de sa peau, son odeur, la fragrance de sexe qu’elle dégageait.
Puis, dans sa main, j’ai joui. Me faire masturber ainsi fait tressaillir mon corps, et le sperme gicle fort. Des gouttes ont été propulsées sur mon torse, Christine les a caressées, les a étendues sur mon corps, ...
... a posé sa tête contre mon épaule.
Plus tard, alors que j’étais toujours au lit, avec un petit mal de crâne, et qu’elle se rhabillait pour partir chez elle, je lui ai dit :
— Je suis de passage. En fait, je ne suis pas souvent à Montréal, je voyage beaucoup pour le travail.
— Appelle-moi quand tu reviens, ça me ferait plaisir…
Elle est revenue vers le lit, m’a embrassé :
— Il ne faut pas s’en faire, si tu veux, on peut se reprendre…
J’ai acquiescé, elle est partie.
Malgré cette expérience étrange, le visage de Christine me hantait ; son demi-sourire lorsqu’elle me branlait, ses yeux inquisiteurs qui cherchaient à me connaître, qui cherchaient à voir, à savoir quand se déclencherait l’explosion et le tressaillement du corps ; le sien tout chaud contre le mien, ses seins lourds contre ma peau, ses cheveux en aura tout autour d’elle : elle me hantait. Notre baise n’avait pas été sublime comme nous l’espérions. Mais son odeur restait en moi.
Ainsi, après ma rencontre officielle avec l’avocat spécialisé en droit commercial, je lui écris un texto :
« Bjr, tu es libre ce soir ? on pourrait se voir ? »
Elle me répond un peu plus tard :
« Je t’invite à la maison, à 18 h ? » avec une google map suivant le message.
Elle m’a accueilli avec le sourire le plus charmeur que j’ai pu voir. Elle était habillée simplement, en jean et pieds nus, avec une fine blouse mi-transparente sans manche, à trois boutons. Nous nous sommes fait la bise, elle m’a invité dans ...