Un club un peu spécial
Datte: 19/12/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
hagé,
fagée,
inconnu,
vacances,
massage,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Auteur: Françoise Vi, Source: Revebebe
... cadre strictement médical. Mais sa patience eut raison de mes dernières appréhensions. Je fermai les yeux et je me laissai faire. Son insistance auprès de mes tétins les fit peu à peu durcir.
J’avais un peu honte de moi car j’avais vaguement envie de faire l’amour : mon sexe s’humidifiait peu à peu. Candidement, je me demandai si tous les massages étaient pareils, si les autres femmes ressentaient les mêmes choses que moi. C’est vrai que ce n’était pas désagréable et même très agréable. Mais j’étais encore très loin de supposer comment tout ceci allait se terminer.
Quand ses doigts remontèrent lentement le long de mes cuisses, des frissons me traversèrent tout le corps. Il tournait et retournait tout autour de mon pubis, insistant sur le bas-ventre et sur le haut des cuisses, je devenais comme folle. Cette fois-ci, je mouillais, c’est certain, et j’avais peur qu’il s’en aperçoive. Mais il revint provisoirement vers mes seins, mes tétons étaient tout durs. De temps en temps il redescendait le long de mon ventre, frôlait les poils de mon pubis, c’était pour moi un vrai supplice.
Je préférai fermer les yeux pour ne rien voir mais cela ne fit qu’augmenter un peu plus les sensations et, plus le temps passait, plus j’avais envie qu’il me touche, mais qu’il me touche vraiment, qu’il s’enfonce en moi, tout au fond de ma grotte. J’étais tellement excitée, tellement brûlante de l’intérieur que je devais mouiller énormément. L’odeur de ma cyprine me vint jusqu’aux narines, ...
... impossible pour lui de ne pas le remarquer. Quelle opinion avait-il de moi ? Ses doigts glissaient sans cesse plus loin sur mon pubis, et frôlaient désormais ma caverne d’amour, je n’avais plus qu’une envie c’est qu’il aille encore plus loin.
Je sentis bientôt un liquide froid s’écouler le long de ma chatte, j’ouvris les yeux pour le voir reposer une fiole de lubrifiant sur la tablette.
— Madame Françoise, vous avez un corps de rêve, très excitant et très sensuel.
À cet instant je ne pus que constater la bosse qui déformait le pantalon de mon masseur et qui semblait de fort belle taille. Cela acheva de me faire chavirer et quand je sentis enfin ses doigts glisser sur ma chatoune, je ne pus réprimer un soupir de satisfaction. J’écartai machinalement les cuisses pour qu’il glisse tout au fond de moi. Mais, encore une fois, il me fit un peu languir. Je devenais comme folle, j’avais tous les nerfs à fleur de peau, j’avais envie qu’il me masturbe. Moi, la vieille duduche défraîchie avec ce jeune éphèbe au joli corps sculpté, c’était un peu risible… Mais je n’en avais plus vraiment honte, et je ne pensais plus du tout à Paul. Je n’avais plus qu’une envie : prendre un plaisir total avec le divin Suleyman.
Alors, profitant qu’il était à ma portée, j’allongeai le bras et posai ma main sur son membre très raide.
— Oh Suleyman, que faisons-nous ? Vous me rendez complètement folle.
Je sortis complètement sa bite, j’avais envie de la toucher, d’en apprécier la texture, je la ...