Un club un peu spécial - Histoires de Sexe

Un club un peu spécial

... regardait. Je me sentis un peu ridicule face à lui, j’avais attaché ma serviette tant bien que mal autour de mes seins pour cacher ce corps horrible. Mais il vint de suite vers moi et, sans geste brusque, il retira le bout de tissu.

— N’ayez crainte, chacun a l’âge de sa plastique, et je vous trouve encore très, très jeune.

Comme je baissai les yeux, il me releva la tête.

— Où est le problème ? me demanda-t-il en me regardant de bas en haut. Vous n’avez pas à vous cacher. Vous êtes vraiment ravissante et vous êtes ici avec des gens qui vous aiment et qui sauront vous apprécier. Chassez de vous tous ces complexes, détendez-vous, prenez du bon temps, soyez tranquille.

Il me demanda de m’allonger à plat ventre sur la table et je sentis bientôt l’huile couler le long de mon dos. Quand il posa ses mains sur moi, je me mis à frissonner. C’est vrai qu’elles étaient très douces ses mains, c’était une des premières fois que je me faisais masser, les sensations n’étaient pas désagréables, bien au contraire, c’était très plaisant et très relaxant de se faire ainsi toucher. Ses doigts passaient et repassaient lentement le long de mon corps, creusaient au fond de mes reins, remontaient sur ma colonne, sans oublier mes jambes qui étaient longuement choyées.

Petit à petit, je me détendais, je me décontractais, j’en oubliais presque où j’étais et avec qui j’étais. Il remontait le long de mes cuisses et pétrissait mes fesses toutes molles. Il prenait tout son temps, c’était ...

... divin et agréable.

— Vous êtes vraiment ravissante et vous avez un corps de rêve, me dit-il au bout d’un long moment. Vous devez être très courtisée.

Non, justement, c’était cela mon problème, car je ne l’étais pas trop.

Ses attouchements se faisaient maintenant de plus en plus osés, plusieurs fois, il avait glissé dans le sillon de mes fesses mais c’était tellement sensuel et progressif que je n’en fus pas vraiment choquée. Tout juste commençais-je à me demander jusqu’où ça allait encore aller.

— J’adore vos formes, elles sont jolies et harmonieuses, elles expriment beaucoup de volupté. Cette maturité plantureuse vous rend encore plus belle.

Sur ce, ses doigts passaient entre mes cuisses, frôlant de peu mon sexe qui déjà s’échauffait. J’étais un peu comme dans un autre monde. J’aurais pu me révolter contre cet homme qui par moment abusait un peu, mais sa voix douce et suave me donnait envie de n’en rien faire.

Il me demanda ensuite de me tourner, ce fut encore un grand moment d’inquiétude. Mes seins étaient trop gros, trop lourds, trop mous, ils me tombaient jusqu’en dessous du nombril, j’avais vraiment la honte et j’étais incroyablement gênée par son regard sur moi. Mais encore une fois, il sut trouver les mots pour bien me rassurer. Il m’enduisit abondamment la poitrine et se mit à la caresser. Sa façon de me toucher, à la fois douce et insistante, me transportait. Ses attouchements n’étaient pourtant pas très catholiques et nous nous éloignions peu à peu du ...