1. Un club un peu spécial


    Datte: 19/12/2020, Catégories: fh, fplusag, hagé, fagée, inconnu, vacances, massage, facial, Oral préservati, pénétratio, double, Auteur: Françoise Vi, Source: Revebebe

    ... comme Paul et que je ne me fasse jeter, ce que j’aurais d’ailleurs compris, après mon aveu. Mais non, pas du tout, il eut une réaction toute différente. Il se contenta de s’approcher de moi et dégrafa sa braguette :
    
    — Ahh, cochonne, je vais t’en donner, moi, de la bite, puisque tu en veux…
    
    Il avait peut-être les yeux plus grands que le ventre, mais il était vraiment sincère. Il avait envie de me violer pour éteindre le feu qui était en moi. Il me fit pencher contre le mur et me prit de suite, en levrette, sans plus attendre :
    
    — Alors, salope, c’est de ça dont t’as envie ? Ce sont des coups de bite, dont tu as besoin ?
    
    Il me baisait avec violence. Il s’excitait comme un malade entre mes reins et je dois dire que ses propos salaces et son empressement me mettaient moi aussi hors de moi. Je mouillais en abondance. Malheureusement le plaisir fut cette fois encore de courte durée car je le sentis venir à nouveau dans mon ventre. Pauvre de moi, je n’avais encore pas joui !
    
    — Alors, ça t’a plu ? me demanda-t-il, de façon un peu surfaite.
    
    Il ne devait pas vraiment savoir ce que c’est une femme qui jouit. Je décidai de le provoquer un peu. M’allongeant sur le lit, je récupérai le sperme qui s’écoulait lentement de ma chatte pour me masturber avec, devant ses yeux ébahis, en le toisant d’un regard provocateur, histoire de dire : « Oui, je suis une cochonne, oui j’ai envie de toi, oui j’aime la bite. Et ...
    ... alors, ça ne te plaît pas ? » C’est ainsi que je pus lui faire profiter de mon plaisir, en jouissant abondamment.
    
    Il devait rentrer sur Bruxelles quelques jours plus tard, il me demanda de venir avec lui et de ne surtout plus mettre les pieds au centre de soins. J’ai accepté et j’ai laissé mes amies retourner seules à leur passion commune.
    
    Depuis ce jour, je me sens un peu Belge car je vis la moitié du temps à Bruxelles et le reste du temps chez moi dans la capitale. Quand je suis sur Paris, René m’appelle tous les jours, souvent plusieurs fois par jour, il semble toujours un peu inquiet quand je suis loin de lui. Il me demande ce que je fais, qui je vois, à quoi je pense. Quand il a un doute, il me rappelle dix fois dans la soirée pour savoir si je ne lui suis pas infidèle, ce qui a le don d’énerver beaucoup Anne-Marie, qui trouve ça vraiment stupide. Souvent aussi, le soir, lorsque je suis dans mon lit, il m’abreuve de cochoncetés pour que l’on se masturbe ensemble, histoire d’être certain que je suis bien rassasiée. Je crois que je n’ai jamais fait aussi souvent l’amour que depuis que je le connais. J’ai trouvé un réel équilibre avec cet homme.
    
    Je n’ai pas l’intention de retourner en Tunisie avec mes amies. Je préfère me consacrer à parfaire l’éducation de René qui d’éjaculateur précoce est devenu peu à peu un amant fort honorable… comme quoi rien n’est jamais perdu, même à soixante-cinq ans passés ! 
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