La gouailleuse - Histoires de Sexe

La gouailleuse

... prodiguait avec son nez, une vraie foldingue suceuse de bite, c’était avec un vrai plaisir qu’elle dégustait ce met savoureux. Jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, jusqu’à la dernière goutte, avec délectation.

Ensuite, elle se recula, se mit à plat dos au beau milieu du lit, cuisses très largement écartées, la chatte sombre mais complètement glabre, comme je l’avais imaginée. L’invitation était claire, elle voulait se faire bouffer !

L’odeur était encore plus prenante que celle de son cul. Et malgré cela, moi qui rechigne pourtant parfois face aux négligences de mon épouse, je l’ai mangée à perdre haleine, prenant à peine le temps de reprendre ma respiration. Je l’ai bouffée comme un sagouin jusqu’à ce qu’elle jouisse, sans le concours de mes doigts, uniquement avec l’action de ma langue.

Puis, alors qu’elle était encore la proie de spasmes, j’ai saisi le gode et l’ai embrochée avec force, l’enfonçant bien à fond, jusqu’au fond de ses entrailles et, avec cette pine de plastique, je me suis mis à la tringler comme un damné, en la regardant couiner et grimacer.

Contrairement à ma femme, elle n’avait aucun mal à jouir, il lui suffisait d’être bien enfilée, bien bourrée, bien défoncée…

— Ah bon Dieu, ça faisait longtemps que j’avais pas pris un tel pied, consentit-elle à admettre. Les gars du troquet, ils ont tous de grandes gueules, mais y-en a pas un qu’est capable de bander. Et puis ils pensent qu’à eux, ils tirent leur crampe vite fait et à la revoyure. ...

... L’dernier en date, il a même pas réussi à m’l’enfoncer, il s’est vidé comme un sagouin à l’entrée de ma grotte.
— Et c’était quand madame ? ne pus-je m’empêcher de demander.
— MADAME ! cria-t-elle, en éclatant d’un rire grossier. Moi c’est pas Madame, c’est Marie ! Et puis d’abord tous les copains m’appellent Pipette ! C’est un surnom que je me traîne depuis ma jeunesse, parce qu’il paraît que j’étais très bonne pour tailler des pipes.
— Alors, Pipette, c’était quand cette dernière fois ?
— La semaine dernière, jeudi ou vendredi. C’était avec le gros Léon, y pèse 120 kilos mais il a une toute petite quéquette, et plutôt faignante avec ça. Y vient de temps en temps pour vider ses grosses bourses.
— Et, à part lui, qui d’autre ?
— Tuhh, tuhh, tuhh ; tu m’ferais pas l’coup d’la jalousie, toi ? Si tu savais, y-en a plein d’autres qu’y y viennent. Tu crois pas que j’vais rester bonne sœur, quand même. Et puis, à mon âge, il est plus que temps d’en profiter, non ? Et j’rechigne pas, pas même sur les goudous…

Ainsi, la voisine, Madame Pipeuse, était une vieille obsédée avide de sexe qui ne ratait jamais une occasion pour s’envoyer en l’air !

— Et puis, mon gars, j’suis plus toute jeune, ni plus très fraîche, alors ça ne se bouscule pas au portillon et faut bien que j’profite des occasions qu’y s’présentent.

C’est alors que j’appris qu’Hervé Mayol, le responsable de l’entretien dans mon entreprise, un petit vieux rachitique, chauve et édenté, faisait aussi partie de son ...