1. Voyeur ou héros ?


    Datte: 15/12/2020, Catégories: h, ffh, fplusag, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour québec, voisins, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... penchant la tête et Marie se reprit les seins pour se les cacher en croisant ses longues jambes pour cacher son sexe.
    
    — Ah ! c’est juste vous ! fit la tante amusée. On pensait que c’était l’ours qui arrivait ! Y est à notre terrain, y est entré dans…
    — Vite ! criai-je le souffle court en réalisant qu’il devait s’en venir et risquait de me mordre le cul à tout moment. Dans roulotte, je pense qu’y me suit !
    
    Leurs sourires s’évanouirent.
    
    —Tabarnak ! lâcha Marie en entrant la première suivie de Pierrette et de moi.
    
    Je barrai la porte, fermai les stores, comme si ça pouvait arrêter un ours, et grimpai sur mon lit pour regarder par la fenêtre arrière. J’étais à bout de souffle en scrutant la forêt, je tremblais, mon cœur cognait et j’avais mal partout. J’enlevai la caméra attachée à mon poignet et la jetai sur le lit.
    
    — Pis ? demanda Pierrette, nerveuse.
    — Je ne vois rien, pourtant chut sûr qu’y me suivait.
    — Nous autres on voit quéqu’chose de beau,par exemple. rajouta-t-elle sur un ton enjoué.
    
    Là, je souris, réalisant qu’elles regardaient mon derrière, et je vis que ma bite avait à nouveau durci. La peur sans doute, mais pas juste ça. J’étais trop conscient malgré tout d’être là, nu avec Marie Lemieux, à poil également. Pas croyable !
    
    Je me retournai et m’assis sur le lit en lâchant un long soupir, heureux d’être en vie, avec ma bite bandée dur qui tanguait. Marie souriait, assise à la petite table de cuisine, les mains encore croisées sur ses seins, et ...
    ... Pierrette me regardait amusée, debout, les bras croisés, mais elle, sous sa poitrine.
    
    J’avais mal partout : la tête, l’orteil, les couilles, les fesses et les cuisses me brûlaient. C’était ma punition sans doute pour mon trip de voyeur. Je l’assumais pleinement en grimaçant.
    
    En moins de deux minutes, j’étais passé du stade de voyeur à celui de sauveur. Je n’en revenais pas. C’était vraiment une bizarre de journée.
    
    La toison rousse de Pierrette flashait dans la pénombre de la roulotte. Quelle belle vision, oh oui !
    
    — Adepte de sadomaso ! fit-elle les yeux petits et rieurs louchant vers ma queue. On dirait qu’on vous a fouetté. C’est votre amie, avec des branches de sapin ? Je ne vous juge pas, vous savez ! Mais ça marche, en tout cas ! C’est une belle érection, ça ! Hein, Marie ?
    — Hum ! Hum ! fit celle-ci du bout des lèvres, les yeux rieurs en me regardant aussi.
    
    Je me mis à rire comme un fou. Le stress, la peur, la fatigue, la douleur et l’adrénaline qui retombait encore une fois sans doute.
    
    Elles aussi riaient comme des malades, à présent, nues et magnifiques. Et là, je réalisai que je venais de sortir de la jungle et d’amener les deux rousses dans ma roulotte. OK ! Peut-être pas comme Brad Pitt ou Tarzan l’aurait fait, mais bon, on était-là tous les trois et nus. C’est le résultat qui compte, non ?
    
    — C’est l’adrénaline ! dis-je en pointant ma bite du doigt.
    
    Elles rirent de plus belle.
    
    — Ah ! On pensait que c’était à cause de nous ! Hein Marie ...
«12...6789»