1. Voyeur ou héros ?


    Datte: 15/12/2020, Catégories: h, ffh, fplusag, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour québec, voisins, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... j’avais eu des grandes jambes comme les tiennes.
    
    Je filmai à nouveau Marie.
    
    — Ouais ! fit celle-ci moqueuse en levant ses deux jambes bien collées, pieds ouverts, orteils repliés, puis les laissant retomber. J’en suis encore fière, pis de mon ventre.
    
    Là, elle ouvrit la serviette pour se le tapoter, se pincer la peau et la tirer. Je me redressai, mais elle avait gardé ses cuisses fermées. Quand même, sans petite culotte, c’était une sacrée belle vision !
    
    — Si seulement j’avais été une vraie rousse ! dit-elle découragée en regardant son mont de Vénus recouvert de poils bruns avant de refermer la serviette. Pas besoin de me teindre les cheveux !
    — Je te trouvais plus jolie en blonde.
    — Pas moi, j’avais l’air cruche.
    — Ben non !
    — Ben oui !
    — Mais non, pis c’est au naturel que t’es la plus belle.
    — Moins pire qu’en blonde en tout cas. Chut quand même pas chanceuse. Vous et ma mère êtes rousses, ma tante Germaine aussi, mes neveux les jumeaux… Pis moi, brune.
    — Dieu préfère les brunes, ma grande, c’est bien connu.
    
    Encore des rires.
    
    Je décidai de me finir, leur conversation devenait ennuyeuse et puis elles s’étaient tripoté les seins. « Je n’aurai pas mieux ! » me dis-je convaincu en me pompant sans trop faire de bruit.
    
    — Ah pis y fait trop chaud ! s’exclama soudainement Pierrette avec énergie en se levant.
    
    Et là, mains dans le dos, elle détacha son haut de bikini, l’enleva et le jeta par terre. Sa poitrine dénudée tomba en se balançant mollement ...
    ... près de son nombril sous le regard surpris de Marie et du mien. Merde !
    
    Je refis un gros plan sur ses seins en me lâchant la bite encore une fois. Une vraie torture.
    
    J’en rêvais tellement depuis ce matin de les caresser, de les embrasser et de les téter et là, je les avais sous les yeux. Wow !
    
    — Bon, j’ai droit à un show de boules,asteure, affirma Marie, une main au-dessus des yeux pour les protéger du soleil. C’est le deuxième aujourd’hui !
    
    Je suais comme un obèse dans un hammam !
    
    — On est toutes seules pis blanches comme du lait toutes les deux, autant en profiter, déclara Pierrette en détachant le bouton de ses culottes d’armée puis les enlevant en se tortillant du cul joliment.
    
    J’admirai ses belles jambes encore musclées pour son âge tandis qu’elle se débarrassait du pantalon. Il ne lui restait que son slip noir en coton qui se démarquait nettement sur la pâleur de sa peau et qu’elle descendit avec ses pouces pour le retirer.
    
    — Non ! Non ! Non ! lâcha Marie en riant et en se frappant dans les mains, un genou en l’air, tête renversée. J’ai droit à un complet !
    
    Pierrette se redressa, une main sur les hanches, et laissa tomber la petite culotte d’un geste théâtral sur le sol. Je me dépêchai de filmer sa splendide toison rousse et son vagin aux grandes lèvres rouge sombre pendant qu’elle était encore debout. Elle avait des courbes magnifiques : les hanches pleines, de belles cuisses bien rondes, des seins lourds et des fesses un peu larges, mais pas ...
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