Laurent & Sophie à la plage (2)
Datte: 15/12/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... n’échappait pas à Rachid qui voulait que je cire ses chaussures avec ma cyprine. Laurent était complètement absent, mis à part quelques aboiements pour faire savoir qu’il était d’accord avec ce que lui demandait Rachid, qui décidément aimait bien s’occuper de sa bite et de son cul. Les tétons de Laurent n’étaient pas en reste par rapport aux miens, car ils recevaient plusieurs pinces à linge présentent sur une corde qui courait entre les deux poteaux.
Au Cours de leur discussion entre eux, je comprenais qu’ils n’étaient pas affiliés à une quelconque police, mais étaient garde forestier en charge de la sécurité incendie, ce qui me faisait mieux comprendre la dextérité avec laquelle ils avaient manié le tuyau avant le déjeuner. J’avais eu tort (ou pas) de prendre des bananes comme dessert, bien sûr c’est dans mon fondement et mon vagin que je prenais les deux, maniée chacune par les deux hommes, je ne tardais pas à remuer du fion et crier à tue-tête tellement le plaisir était grand, je finissais allongée sur le sol à hoqueter, trempée de sueur de dégoulinante de mon jus intime. Ils s’intéressèrent à Laurent qui s’était roulé en boule sur lui-même. Mais rien n’y faisait, il se retrouvait écartelé des deux fesses et la plus grosse des bananes enfoncée jusqu’à la garde dans le trou du cul. Rachid lui imprimait un rite endiablé et Laurent avait du ...
... mal à reprendre son souffle. Lui aussi jouissait et Jimmy qui le masturbait en même temps décalottait le gland en tirant au maximum le prépuce en arrière, récupérait son sperme dans la cuvette.
C’est moi qui le léchais « comme récompense » me dit Jimmy. Le slip des deux hommes était à nouveau bien rempli, à voir de cette façon, on aurait dit deux grosses matraques et c’était flippant.
Ils rentrèrent dans la maison de bois et j’en profitais pour remettre mes idées en place et un souvenir anodin revenait à ma mémoire. Quand j’étais allée acheter un maillot de bain dans une petite boutique sur le boulevard de mer, un homme qui devait être Jimmy me matait quand j’étais en train de me changer, sur le coup je m’étais dit que c’était juste un père de famille en mal de minette à reluquer, mais avec le recul et ce que nous venions de vivre, tout cela me semblait prémédité et ce n’augurait rien de bien rassurant. Je faisais le point de notre situation.
Nous étions très probablement en milieu d’après-midi en plein bois avec deux énergumènes peu recommandables, complètement nus et à quatre pattes nos laisses attachées aux poteaux. Notre sort était peu enviable et personne ne pouvait donner l’alerte car nous étions loin de notre domicile, nul ne nous attendait et nos téléphones se trouvaient avec toutes nos affaires dans le grand sac de nos ravisseurs.