Laurent & Sophie à la plage (2)
Datte: 15/12/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... douloureux.
Nous avancions plus rapidement maintenant dans la profondeur de la forêt et nous laissions la piste des résiniers derrière nous, ainsi que les cyclistes ravis de leur rencontre inattendue.
Il nous fallut marcher encore une bonne demi-heure avant d’apercevoir tout d’abord une tour en bois qui dépassait le haut des sapins et en nous rapprochant une maisonnette sommaire en bas de cet édifice, probablement une tour de guet pour prévenir en cas d’incendie. Les deux hommes attachaient nos laisses au poteau de l’entrée et nous liaient les mains derrière le dos. Ils pénétraient et nous laissaient seul, Laurent mettait sa tête dans le creux de mon épaule et sa résistance lâchait, il se mettait à pleurer doucement en se plaignant d’avoir la bite en feu. Nous nous frottions l’un à l’autre dans un échange doux et soyeux. Rachid sorti en sirotant une bière, il m’en versait une gorgée dans ma bouche grande ouverte, et fourrait sa langue dans la foulée, au fond de ma gorge, comment pouvait-il avoir une langue si longue ? Laurent n’y eut pas droit, il faisait chaud et nous avions chaud.
Jimmy sortit au bout d’un moment et passait derrière la petite bâtisse pour réapparaître avec un tuyau d’eau. Il n’hésitait pas une seconde et dirigeait le puissant jet d’eau (sûrement une lance pour lutter contre les départs de feu) dans notre direction. Nous étions submergés par la froideur et la puissance, je me tournais pour présenter mon dos et mon postérieur, mais rien n’y ...
... faisait, le jet me pénétrait entre les cuisses, les ouvraient violemment. Rachid me saisissait et Jimmy diminuait la puissance, mais c’est les cuisses à l’équerre que je prenais le jet dans la chatte. Mes lèvres écartées par l’eau tremblaient sous la puissance, mais c’était dans mon vagin et mon anus que les deux brutes voulaient m’envahir d’eau. Laurent y eut droit également, mais ils le détachèrent pour le poursuivre avec le long tuyau, ils s’amusèrent beaucoup j’étais contente de ne pas avoir eu à subir ce que Laurent avait enduré.
Un moment plus tard, ce n’était pas des serviettes pour nous sécher que les deux hommes nous donnaient, mais des cuvettes en plastique dans lesquelles la salade que j’avais préparée était déposée. Nos mains liées dans le dos, nous devions nous mettre à genoux une nouvelle fois pour arriver à attraper quelques morceaux de poulet froid, de mais, de tomate, de cornichons, le tout arrosé de vinaigrette, mélangée à la mayonnaise qui recouvrait l’œuf dur. Nos figures ressemblaient à un tableau de Picasso. Les rires de nos deux éleveurs de chiots étaient entrecoupés du masticage de leurs sandwichs.
Bien évidemment à chaque passage dans mon dos j’avais droit à un massage avec le bout de leurs rangers sur ma chatte écartelée par la position, mes genoux devaient être écartés pour que je puisse baisser le buste afin de saisir la nourriture dans la cuvette. Je dois reconnaître que ça n’était pas pour me déplaire et que j’y prenais du plaisir. Ce qui ...