Laurent & Sophie à la plage (2) - Histoires de Sexe

Laurent & Sophie à la plage (2)

... trou du cul pour pouvoir l’enculer.

Mon vagin était trempé, les gouttes de cyprine coulaient de mes lèvres j’étais très excitée et je n’osais pas le reconnaître mais tout ça me plaisait au plus haut point, l’humidité que je fournissais ne leur avait bien sûr pas s’échapper et après quelques coups de pied bien sentis qui s’écrasaient sur les lèvres de ma chatte, je dus subir des doigtés qui finirent par une main entière dans mon vagin. J’aurais préféré leurs bites, mais après avoir éjaculé ils n’étaient pas en condition pour bander à nouveau.

Laurent n’était pas en reste, ils lui attachaient une ficelle autour des couilles pour le tirer à volontiers et le faire avancer plus vite, il était tenu par la laisse passer autour de son cou et cette ficelle liée autour de ses coucougnettes.

Laurent couinait tout le temps que l’on marchait dans le bois, la ficelle était probablement trop serrée. Ma position n’était pas enviable non plus, mais je m’habitais et y trouvais une sorte de plaisir, mon exhibition devant ces deux hommes me faisait mouiller et je dois bien le dire m existait au plus haut point. Chaque coup de baguette qui claquait mes lèvres intimes et le milieu de ma fente, me délivrait une décharge électrique qui amenait une jouissance extrême et inconnue jusqu’ici. Mon clitoris était en feu et devait sortir d’entre mes lèvres.

Nous continuions notre lente avance et arrivions à la piste des résiniers, le chemin étroit fait de pierres alignées les unes à la ...

... suite des autres, qui permettent aux récoltants de résine de venir à vélo ramasser leurs précieux butins. En cette période c’est plutôt les vacanciers que l’on risque d’y rencontrer, de 8000 habitants l’hiver, c’était plus de 100 000 personnes qui occupaient la ville en période estivale. La rencontre tout à fait fortuite nous plaça en présence d’un couple en tandem à la grande surprise de nos deux geôliers. Des trentenaires qui s’arrêtèrent pour nous observer, Jimmy nous menait pour que nous continuions à avancer jusqu’au chemin où se trouvaient les cyclistes. Le couple était composé de deux jeunes hommes, je risquais un œil inquisiteur et je repérais facilement le plus efféminé qui était à la place arrière sur ce double vélo, l’homme à l’avant était plus musclé et aussi brun que l’autre était blond.

Jimmy engageait la conversation en expliquant que nous étions des naturistes qui s’étaient mal conduits et que nous avions des travaux d’intérêt général à effectuer, mais que nous avions choisi une autre sentence de substitution et qu’ils pouvaient profiter de l’aubaine pour faire de nous ce qu’ils voudraient le temps d’une heure, montre en main. Je m’attendais à tous sauf à cette proposition-là, je crois que Jimmy un peu décontenancé par cette rencontre avait dit ce qui lui passait par la tête. Mais l’offre était faite et c’est Laurent et moi qui devrions supporter les éventuels dégâts qui risquaient d’en résulter. J’étais soufflée, et encore plus lorsque le couple décidait de ...