Laurent & Sophie à la plage (2) - Histoires de Sexe

Laurent & Sophie à la plage (2)

... grande sœur, il n’osait pas regarder devant lui, ses yeux étaient rivés au sol, bien au contraire je cherchais à repérer nos deux brutes d’hier. Nous montions la dernière dune afin de gagner le petit retrait de mer qui faisait l’endroit abrité que nous avions choisi pour passer le plus clair de nos temps de notre congé.

J’aperçus tout de suite nos deux hommes qui nous attendaient et qui levaient la tête vers nous, je pressais la main de Laurent pour l’avertir et lui donner du courage, il comprit tout de suite qu’ils étaient là à nous attendre.

J’augmentais l’allure pour éviter le retard. Nous étions un peu limite avec l’heure du rendez-vous fixé, je ne m’étais pas trompé à peine arrivé devant les deux hommes, le plus téméraire gifla Laurent à deux reprises en lui reprochant d’être en retard et de se foutre à poil vite fait et de ne jamais mettre de pantalon, il devait venir soit en slip soit complètement à poil.

Il tremblait et nos tortionnaires s’énervaient à vue d’œil, je le déshabillais moi-même, au final Laurent se laissait faire entièrement. Je comprenais que notre calvaire reprenait quand ils m’obligèrent à sucer la bite de Laurent bien que des vacanciers passaient le long de la mer. Je m’exécutais car je pensais qu’ils étaient l’autorité et qu’ils sauraient si une personne était choquée, faire la police avec l’aplomb dont ils faisaient preuve avec nous.

Ils guidaient de la voix comment je devais faire et de quelle manière je devais procéder, plus vite, ...

... moins vite, sort plus la langue, tire-lui la queue à fond, décalotte le plus, leurs mots étaient grossiers, mais vu le genre d’individus je n’étais pas étonnée.

Le pauvre Laurent subissait torsion, tirage, frappe et morsure sur sa queue et ses couilles. L’un des deux nous filmait, bougeait sans cesse pour avoir le meilleur angle et je pense éviter de prendre son comparse sur le film. Laurent bandait comme jamais, sa queue et ses couilles étaient dures comme je ne les connaissais pas, je les avais pourtant prises en bouche et en mains à de nombreuses reprises.

Pendant que je le suçais, ils montèrent mon t-shirt par-dessus ma tête et coupaient avec un couteau les côtés de mon slip afin de pouvoir regarder mon cul. Pour plus de facilité je dus me mettre sur la pointe des pieds, jambes bien écartées et sur les mains, je n’avais alors que ma bouche à disposition mais un des deux guidait ma tête pour faire une fellation digne de ce nom sur le sexe de mon compagnon qui n’osait pas bouger, mais dont la bite inflexible ne pliait pas, à ma grande surprise, il prenait du plaisir.

Ils avaient probablement prévu un autre scénario car ils nous interrompaient, ramassaient toutes nos affaires qu’ils mettaient dans un grand sac à dos qu’ils avaient avec eux et nous entraînaient vers la dune direction sud alors que nous venions de la partie nord du bord de mer.

Nous avancions nus comme des vers et le fait de croiser d’autres vacanciers ne semblait pas les gêner outre mesure, voire même ...