Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin - Histoires de Sexe

Voyage en Dordogne avec mon jeune voisin

... sous mes doigts comme un petit sexe dur… J’aurais voulu le caresser de ma langue, le mordiller, le sucer, mais je n’ai pas osé de crainte de la réveiller.

Jora, dans son sommeil, ronronnait doucement comme un petit chat content. Je n’ai pas voulu prendre sa bouche car alors c’était un réveil certain mais, très doucement, je l’ai mise sur le dos, draps enlevés, contemplant sa nudité offerte. Dans un mouvement que je crois être inconscient, elle a ouvert largement ses cuisses comme pour un appel non équivoque. Son sexe était ouvert à ma disposition… Je m’imaginais des lèvres bleutées et un bouton d’amour très saillant comme ouverture à un vagin bien muni en muscles de contraction…. Imagination d’un gamin !

Sans hésiter, je l’ai pénétrée à nouveau, cette fois avec un peu plus de fougue car je sentais que son bassin répondait à mes mouvements… Quoiqu’elle dormît toujours, elle émettait de nombreux bruits de bouche que j’assimilais à de la satisfaction.

Je me suis enhardi, tout en la chevauchant, à lui caresser la poitrine et à jouer avec ses globes. J’étais irrésistiblement attiré par sa bouche mais j’ai su résister car c’était dangereux de la réveiller maintenant en plein acte…

J’ai retardé mon plaisir longtemps, longtemps, car je me trouvais bien au chaud dans cet antre de plaisir et c’était merveilleux pour moi, quasi-débutant, d’ainsi pouvoir profiter gentiment d’un corps mature, offert généreusement et sans retenue…

Se réveillera… se réveillera pas ? C’était ...

... une question que je ne me posais même pas, même plus… au point où j’en étais…

Finalement, je me suis répandu en elle avec la même abondance que la première fois. Mes longs jets devaient l’inonder… Je suis resté en elle, légèrement débandé mais bien dans ce beau corps… Que c’était bon ! Cela répondait à mes rêves érotiques les plus fous…

Je l’ai laissée ainsi, cuisses offertes, et me suis glissé à son côté. Peu après, toujours dormant, elle est venue d’elle-même se remettre dans mes bras, mais cette fois c’est elle qui a posé ses lèvres sur les miennes… Elle râlait très doucement, comme dans un rêve.

J’ai glissé délicatement un petit bout de ma langue entre ses dents à la rencontre de sa langue… Sa bouche s’est ouverte plus encore et nos deux langues se sont trouvées groupées et se sont mises à s’agiter en un ballet encore calme, comme d’exploration… Je ne voulais rien brusquer…

Sous ce baiser, ses yeux se sont ouverts et, surprise, elle a dit :

— Que faisons-nous ? Où suis-je ? Qui es-tu ?

Visiblement, les vapeurs de l’alcool n’étaient pas encore dissipées… Pourtant, la lumière de la table de chevet était restée allumée pendant tous nos ébats !

Elle a vite repris toute sa lucidité et, me regardant avec surprise, elle m’a dit :

— Que fais tu dans mon lit, tout nu !

Je lui ai simplement dit qu’hier soir elle était tombée de sommeil dans le premier lit ouvert et que c’était celui où je me trouvais déjà.

C’est alors qu’elle a constaté sa propre nudité ...