1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : exhibitionnisme et hypersexualité


    Datte: 05/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... de lingerie. Je me branle dans la cabine d’essayage. Je m’arrange toujours pour laisser le rideau entr’ouvert afin que la vendeuse ou bien qu’une cliente puisse m’apercevoir en pleine action.
    
    Au volant de ma voiture, j’aime aussi m’exposer. Je porte alors une jupe ou robe suffisamment ample, j’écarte bien les jambes et je me caresse. Qu’on puisse m’observer ainsi m’excite au plus haut point. J’essaie de longer un autobus ou bien un camion, afin que de haut je puisse être bien observée. Bien entendu les feux rouges et les embouteillages sont des moments de prédilection.
    
    Aussitôt arrivée chez moi, il faut alors que je me soulage grâce à une pratique dont j’ai longuement parlé : la masturbation, jusqu’à ce que je me libère de la tension que j’ai accumulée.
    
    JE SUIS CUTE
    
    Lancé sur Twitter pour promouvoir l'amour de soi et le droit des femmes à disposer de leur corps comme elles le souhaitent, le hashtag #JeSuisCute a suscité un flot d'insultes et de commentaires haineux sur la toile.
    
    Le mot dièse - en français «je suis mignonne» - a été lancé en juillet 2018 par Manny Koshka, une modèle d'origine lilloise. Sur Twitter, elle a publié quatre photos où elle apparait partiellement dénudée, en sous-vêtements, accompagnée d'un commentaire où elle explique sa démarche.
    
    La jeune femme s'insurge contre la «police des mœurs» qui sévit sur les réseaux sociaux dès qu'un bout de peau ou une partie du corps féminin est dévoilé et défend la liberté de montrer son corps, en ...
    ... appelant d'autres à suivre son exemple. De nombreuses internautes ont alors posté à leur tour leurs photos, parfois en lingerie, parfois dénudées ou dans des tenues plus classiques.
    
    La réaction de la Twittosphère ne s'est pas faite attendre et les participantes ont vu leurs comptes inondés d'un flot de commentaires insultants ou infantilisants tandis que le hashtag a été repris pour dénoncer la vacuité de la démarche. Un exemple typique de «slut-shaming», une pratique qui stigmatise les femmes jugées immorales ou trop à l'aise avec leur corps ou leur sexualité.
    
    L'hashtag étant devenu viral, d'autres internautes, femmes comme hommes, se sont néanmoins mobilisés pour défendre le mouvement. Dans un contexte où la parole des femmes se libère, la vulgarisation du corps des femmes pose toujours problème aux grandes plateformes Internet.
    
    A la demande de Philippe, je ne suis plus sur les réseaux sociaux. Mais je voulais marquer ma solidarité avec ce mouvement et affirmer le droit de s’exhiber, sans franchir la frontière de l’attentat à la pudeur.
    
    POUR LES LECTEURS PREMIUM
    
    J’ai demandé une faveur à HdS, celle de pouvoir accompagner ce texte de quelques photos :
    
    • Sur la première photo, je suis en train de monter les escaliers pour rejoindre l’appartement de Kamel où se passaient les séances. Nous sommes en été. Je porte une robe rose, à bretelles très courte qui laisse deviner que je ne porte si string ni culotte. La robe laisse aussi bien voir mon dos et mes bras, elle ...