1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : exhibitionnisme et hypersexualité


    Datte: 05/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... Je ne voyais plus mes amies, et il était hors de question que je puisse rencontrer d’autres hommes, sauf en présence d’Hassan. C’était pour moi une nouvelle descente aux enfers, mais j’acceptais mon sort comme une juste punition de mes fautes passées.
    
    UN NOUVEL EQUILIBRE ?
    
    Après la rupture avec Hassan, nous avons reconstitué notre couple avec Philippe.
    
    Philippe le candauliste continue à vouloir que j’inspire le désir des mâles, tout en cherchant à éviter les dérapages du passé et à maîtriser la situation. Il adore que les gens se retournent sur mon passage et que les autres hommes matent mon décolleté, mes cuisses, mon joli cul.
    
    Nous avons symboliquement passé un « pacte candauliste » dont le principe n° 8 résume bien ce que nous recherchons : « Olga portera des tenues sexy, soigneusement choisies par Philippe. Olga mettra en valeur notamment sa poitrine, ses jambes et son cul. Elle apparaîtra pour ce qu’elle est : une femme mariée, qui porte fièrement son alliance, mais qui est aussi une libertine assumée, prête à des relations extra-conjugales avec l’accord et en présence de son mari. »
    
    UNE TENUE STRICTE N’EMPECHE PAS LES TENTATIONS
    
    J’ai raconté (récit 53) ma tentative de reprendre une activité professionnelle, pensant que cela m’aiderait à maîtriser mon hypersexualité. Dans ce milieu professionnel, je veillais à m’habiller avec des tailleurs stricts, à éviter les décolletés provocants, tout ce qui pouvait mettre en valeur mes fesses, mes seins, mes ...
    ... jambes. Je faisais aussi en sorte que mon maquillage soit discret. Habillée très sagement, je voulais passer pour une grande vertueuse inabordable. Bref, j’étais une mère de famille « normale », qui reprenait une activité professionnelle, qui s’investissait dans son travail, ne ménageait pas son temps et donnait entière satisfaction.
    
    Et pourtant cela n’a pas empêché, qu’après avoir été harcelée, j’ai fini par avoir une relation adultère avec mon chef Denis, ce qui me poussa à renoncer à cette tentative de reconversion professionnelle.
    
    J’ASSUME
    
    Je ne cache pas le frisson, la sensation, l’excitation, de savoir que les yeux se promènent sur mon corps.
    
    J’aime porter des strings ou des petites culottes, pratiquement toutes de dentelle, très suggestives, que j’achète achète dans des boutiques de lingerie fine. Pour ma poitrine, selon mon humeur, j’alterne désormais entre l’absence de soutien et les chemisiers échancrés et des soutien- gorge avec un bonnet rigide, volontairement trop grand pour mes seins. Cette dernière manière, je l’ai constaté, attire encore davantage les regards.
    
    Toutes les occasions, en tous lieux, à tout moment, sont pour moi prétexte à m’exhiber : nue devant ma fenêtre, les jambes écartées à la terrasse d’un café ou dans un restaurant, comme je l’ai raconté récemment.
    
    Il m’arrive d’aller au supermarché seulement vêtue d'une minirobe légère sans rien dessous. J’aime aussi, dans la journée, lorsque j’ai besoin de me soulager, entrer dans une boutique ...