1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : exhibitionnisme et hypersexualité


    Datte: 05/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... TENTATIVE D’HASSAN
    
    Le changement fut radical avec Hassan et ce dès le premier jour de notre relation.
    
    J’ai raconté (récits 30 et 31) comment il avait surpris mes ébats avec Kamel et un de ses amis, chassé ceux-ci et comment, sur un coup de foudre, nous étions devenus amants.
    
    J’étais tombée follement amoureuse de lui. Après une longue nuit d’amour, je m’apprêtais à regagner mon domicile.
    
    « J’avais remis mes vêtements de la veille.
    
    • Ah non, tu ne sors pas comme ça ! Ce sont des vêtements de putain ! Chez nous, je veux bien que tu sois sexy, et même à poil, mais seulement pour moi et pas offerte à la concupiscence des autres ! Je vais te chercher des vêtements décents. Tu es ma femme désormais.
    
    J’étais estomaquée, mais je ne le contredisais pas.
    
    Il revint peu après, avec une longue tenue et un voile.
    
    • Tu es fou ? Je ne vais pas mettre ça ! Je ne suis pas musulmane !
    
    • Pas encore, mais tu es déjà ma femme. Tu dois doit couvrir tout le corps à l’exception des mains et du visage. Le voile ne doit pas laisser dépasser la moindre partie de la chevelure. Tu m’as promis obéissance, femme ! Désormais tu sortiras ainsi. Je ne veux plus que ma femme soit un objet de désir pour les autres hommes. Seulement pour moi.
    
    Je me soumettais. Après tout si c’est ce qu’il voulait, c’était aussi un moyen de ne pas susciter la tentation.
    
    Notre descente fit sensation. C’était une autre femme qui quittait l’appartement de Kamel, rien à voir avec la scandaleuse, la ...
    ... putain qui était arrivée la veille sous les injures et les malédictions. J’étais respectée, j’étais la femme d’Hassan. »
    
    J’avais obtenu, de haute lutte, de la part d’Hassan, de ne pas être contrainte de porter la tenue islamique qu’il voulait que je revête lorsque je sortais. Je ne consentais à me vêtir ainsi uniquement quand nous sortions ensemble, afin que je ne lui « fasse pas honte ».
    
    Je faisais l’effort de ne plus porter toutes ces tenues sexy, voire scandaleuses que Philippe m’avait offertes et qui avaient tant contribué à ma réputation sulfureuse. Le jour du baptême civil de ma seconde fille, Leila, je portais une tenue sobre, une robe qui allait jusqu’à mes genoux, je ne mettais en valeur ni mes seins, ni mes fesses. Plus d’un invité fût étonné de ma transformation en épouse sage, notamment les hommes qui, pour beaucoup, étaient venus dans l’espoir de se rincer l’œil grâce aux tenues réputées, indécentes d’Olga T.
    
    En quelques mois, j’étais passée de la liberté totale à l’enfermement, du rang de princesse à celui d’épouse d’un musulman rigoriste. D’une jalousie maladive, il ne voulait pas que je sorte seul. Il avait fait débarrasser les armoires pleines de tenues sexy qu’affectionnait Philippe, les remplaçant par des choses que je trouvais hideuses, qui cachaient mes jambes, ma poitrine, mes épaules, mes bras. Quand je sortais ainsi, nul n’aurait pu reconnaître dans cette femme voilée la sulfureuse Olga.
    
    Dans ma volonté de me punir, j’acceptais ce traitement. ...
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