Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : exhibitionnisme et hypersexualité
Datte: 05/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Olga T, Source: Hds
... dans le recours à un fonds de teint qui met en valeur mes traits, dans le choix d’un fard à paupières qui rappelle que je suis la lointaine héritière des hétaïres, de Cléopâtre ou de Théodora et du khôl qui rend le regard mystérieux et sexy.
Oui j’aime séduire, que les hommes m’admirent, me désirent, bandent pour moi. Et j’aime ça d’autant plus que Philippe m’y a toujours encouragé.
QUAND J’ETAIS UNE LOLITA
Autant que je me souvienne, j’ai toujours aimé porter des vêtements courts, légers, et pour tout dire peu de vêtements. A la maison, surtout en été, dans un pays chaud, j’aimais à circuler nue.
Malgré les vives récriminations de ma mère, cela ne posait guère de problèmes, jusqu’à ce que mon corps se transforme et que je devienne peu à peu une femme.
Dès ce moment-là, j’ai aimé porter des jupes courtes et même des minis! J’ai d’emblée détester porter un soutien-gorge, peu adaptés à mes petits seins, préférant les grands décolletés et même à jouer de la transparence. Aux culottes sages, je préférais les strings, le plus petit possible, et, quand je le pouvais, ne rien mettre du tout sous ma jupe, pour sentir une sensation de liberté, au risque que l’on mate ma chatte, ce qui n’était pas pour me déplaire.
J’avais remarqué, et j’en ai été tout de suite particulièrement fière, les regards masculins posés sur moi, qui me donnaient et me donnent toujours une certaine sensation, un certain frisson. Adolescente, j’étais une lolita, provocatrice, sur qui se ...
... retournaient les hommes.
J’avais très vite remarquer le regard de certains de mes professeurs, qui se penchaient sur mon travail, pour mieux mater ma poitrine naissante ou qui m’envoyer au tableau pour le seul plaisir d’admirer mes jambes et mon petit cul.
Ce comportement suscitait la vive colère de ma mère et de fréquentes disputes entre elle et mon père, qui laissait faire et même m’encourageait, puisque c’est lui qui me donnait l’argent, me permettant de me présenter ainsi. Comme plus tard avec Philippe, rien n’était assez beau ou assez sexy pour moi.
J’entendais leurs affrontements et évidemment c’est le parti de mon père que je prenais et je me sentais encouragée par ses propos :
• Tu es irresponsable de laisser ta fille s’exhiber ainsi ! Tu l’as regardé ? Elle se maquille, et montre ses cuisses, ses seins et même sa chatte ! Elle se comporte comme une petite putain et tu laisses faire ! Pire, tu l’encourages !
• Je t’interdis, quand tu parles de ma fille, d’employer ce mot, tu entends ? Je suis fier d’elle, elle est magnifique ! Pourquoi cacher ce qui est beau ? Olga aura les hommes à ses pieds ! Pour le moment, je ne laisserai personne l’approcher. Mais ça me plait qu’elle soit admirée.
Comme je l’ai expliqué, j’ai depuis compris que cela faisait partie d’un complexe d’Electre, que je développais et qu’il encourageait, sans que cela aille, comme je l’aurais voulu, au bout. Mais ceci est une autre histoire.
UN OUTIL DE SEDUCTION
L’exhibitionnisme a ...