1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : exhibitionnisme et hypersexualité


    Datte: 05/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... n’oublie pas, ce que tu as de mieux en talons aiguilles, pour mettre tes jambes et ton cul en valeur.
    
    • Mais Rachid, tu vas me faire passer pour ce que je ne suis pas.
    
    • Mais si mon amour que tu es une putain. Ma putain. Fais ce que je te dis. Prends un taxi et attends-moi Boulevard Foch, près de la gare.
    
    • Rachid, c’est le quartier des prostituées. Je vais me faire embarquer pour racolage ! »
    
    Pourtant, alors entièrement sous sa coupe, j’ai accepté ce qu’il m’avait demandé.
    
    J’étais partagée entre la honte, la peur et l’excitation. Je me suis mise à faire les cent pas devant le lieu de rendez-vous, un hôtel de passes, tortillant inévitablement du cul, tant ma jupe était serrée et les talons-aiguille n’arrangeant pas les choses. Rachid n’était pas là et mit plus d’une heure à arriver. Cela me parut une éternité, pendant laquelle je me suis fait aborder plusieurs fois par des clients potentiels, traitée d’allumeuse, sans oublier les menaces des prostituées et des souteneurs qui pensaient qu’une nouvelle venait sur leur territoire. J’avais beaucoup de mal à faire comprendre que je n’étais pas là pour faire le trottoir, mais seulement parce que mon amant, par vice, m’exhibait. »
    
    Dans le même ordre d’idées, il y eût les séances hebdomadaires à la cité sensible, où Rachid m’offrait à des jeunes du quartier.
    
    Rachid veillait à ce que mon arrivée à la cité ne passe pas inaperçue. Il exigeait que je sois outrageusement maquillée, que je porte une jupe serrée et ...
    ... courte, un chemisier ou un tee-shirt échancré, qui laissait bien voir mes seins, sans que jamais je n’ai de soutien-gorge. Il m’obligeait aussi à mettre des talons-aiguille qui rendaient ma marche difficile, mais qui mettaient en valeur mes fesses, rendant fous de désir ces jeunes mâles.
    
    La montée des escaliers jusqu’au 4ème étage, où se situait l’appartement où vivait Kamel, le complice de Rachid et où se déroulaient ces séances, était un moment difficile. De nombreux jeunes en profitaient pour mater, d’autant plus que Kamel, par vice, me faisait retirer le mini-string que j’avais été autorisé à mettre. Les mères de famille, qui ne pouvaient empêcher leurs fils de participer à tout cela, m’agonisaient d’injures. Il m’est arrivé de me faire cracher dessus.
    
    Rachid avait utilisé, poussé à l’extrême mes tendances exhibitionnistes, pour marquer sa domination sur moi et notre couple et accompagné ma descente aux enfers.
    
    J’ai eu beaucoup de chance, pendant toute cette période, d’avoir échappé à des agressions ou encore à des verbalisations pour atteinte à la pudeur. Je rappelle que l’exhibition sexuelle, en remplacement de l’ancien délit d’outrage à la pudeur de l’article 330 ancien du code pénal, est réprimée par l’article 222-32 du Code Pénal : « L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d'1 an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende. »
    
    REPRIMER L’EXHIBITIONNISME POUR ANNIHILER MON HYPERSEXUALITE : LA ...
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