Béatrice se dévoile - Histoires de Sexe

Béatrice se dévoile

... pas tout, c’est trop tôt ! Mais si tu aimes l’imprévu, tu dois accepter de le rencontrer. Tu vas forcément apprendre des choses.

Houlà, il y avait encore du mystère ! Je commençais à m’inquiéter sérieusement. En plus d’être présenté à un mari soi-disant pas jaloux, il y avait encore des choses à découvrir ?

— Euh… oui. Mais je ne suis pas homo du tout, et…

Elle eut un rire de gorge :

— Qui te parle de ça ? Charles-Henri est totalement hétéro, et uniquement porté sur les jeunes filles. Il ne t’arrivera rien de ce côté-là, tu peux en être certain ! Si quelqu’un doit te violer, ce sera moi… Allez, viens, on va danser !
— Mais attends, il faut que je paye…
— Payer ? Tu es fou ! D’abord, tu n’as pas d’argent ; arrête de jouer les hommes, Marc. C’est moi qui t’achète : à partir de maintenant, tu dois jouer les gigolos, jeune homme ! Tu sais ce que c’est, un gigolo ? Non ? Eh bien, c’est un jeune homme qui se fait entretenir par une femme beaucoup plus âgée que lui.
— Plus âgée, plus âgée… pas tant que ça ! La différence n’est pas flagrante.
— Oh si, elle l’est ! Et vu ton âge, la différence est importante : je pourrais être ta mère, et tu le sais bien ; mais tu es gentil de dire le contraire.

Un peu interloqué, je suivis docilement Béatrice qui m’emmena dans le dancing où nous nous étions rencontrés. Il y faisait toujours aussi sombre, et malgré l’affluence sa table était libre. Aussitôt assis, elle s’enroula autour de moi, sollicitant caresses et baisers. ...

... Sachant ses seins zone interdite, je mis de suite mes mains sous sa jupe. Sa culotte avait dû rester sur la table du restaurant car je trouvai la chair nue sous mes doigts. Je pris plaisir à fouiller à nouveau ses chairs mouillées. Peut-être que la culotte était le pourboire du serveur ?

Du pouce, je me mis à lui masser le clitoris qui était déjà dur, tandis que je l’embrassais dans le cou, ce qui la fit se cambrer violemment. Elle poussa son hennissement habituel, et je sentis une nouvelle coulée de mouille inonder ma main. Dans le même temps, elle se dégagea de moi.

— Marc, tu es fou ! On prévient avant de faire des trucs pareils.
— Ah bon, pourquoi ?
— Parce que ! Ceci dit, c’était drôlement fort. Tu me fais de l’effet, tu sais ; mais tu ne devrais pas faire ça ici, il y a trop de monde.
— Tu parles… Et hier, on a baisé debout sur la piste, ça ne t’a pas gênée.
— Hier, c’était hier ! C’était différent. Et puis il y avait moins de monde.
— Ouais… Hier, tu étais en manque, et ce soir t’as déjà joui plusieurs fois.
— Voyez-moi ça, ce jeune impertinent ! Qui te permet des jugements de cette sorte ?
— Écoute, Béatrice, t’es une femme super ! Je passe des moments formidables avec toi… Et même si tu dis que je suis un gigolo, ce n’est pas pour le fric que je suis là, mais parce que tu me plais. Physiquement, je m’éclate. Pour le reste, tu es sûrement une grande dame, avec bijoux, position sociale et tout. Mais qu’est-ce que tu peux être coincée sur certains trucs ! Sois un ...