Béatrice se dévoile
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
fplusag,
hagé,
jeunes,
extracon,
caférestau,
boitenuit,
noculotte,
Oral
init,
Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe
... foireuse du prétendu neveu… J’avais l’impression qu’en fait, elle était ravie que la rumeur lui attribue un jeune amant. Mais qu’en ne reconnaissant pas officiellement cette liaison, cela lui permettait de garder une certaine distance et d’éviter les questions. J’ai appris depuis que, dans certains milieux, sauver les apparences est primordial.
En fait, à partir du moment où elle avait choisi un amant, il lui était quasiment impossible que ça passe totalement inaperçu et que la rumeur n’existe pas. Mais comme elle devait être une excellente cliente dans les différents établissements qu’elle fréquentait, elle pouvait compter sur la discrétion du personnel pour que la rumeur ne se propage pas trop. Que le personnel soit au courant, ce n’était pas un problème : il n’appartenait pas à son monde (notre repas du soir allait venir conforter cette analyse). Quant aux amies, aux copines, elles n’étaient pas dupes, sans doute envieuses si elles-mêmes n’avaient pas la même bonne fortune, mais elles ne pouvaient qu’alimenter la rumeur. Et Béatrice avait une autre arme que je ne tarderais pas à découvrir.
Au restaurant, le maître d’hôtel nous accueillit dès le sas de l’entrée et nous mena immédiatement à l’étage dans un salon particulier où une table unique était dressée. Nous étions assis côte à côte, face à la porte, sur une banquette de moleskine rouge, devant une table parée d’une longue nappe blanche qui nous couvrait le bas du corps. Là aussi, ma nouvelle amie semblait ...
... avoir ses habitudes car le maître d’hôtel nous y avait guidés sans poser de question. L’endroit était idéalement choisi pour avoir un maximum d’intimité. Le maître d’hôtel refermait soigneusement la porte en sortant, et les craquements de l’escalier en bois étaient suffisamment bruyants pour nous prévenir de l’arrivée du service.
À peine installés, ma compagne se jeta dans mes bras et se mit à m’embrasser à pleine langue. Par réflexe, je lui caressai les seins. J’eus juste le temps de me rendre compte qu’elle avait remis son solide soutien-gorge avant qu’elle ne dévie mes mains vers le bas de son corps. Décidément, elle devait faire un vrai complexe de ce côté-là. Pourtant, j’y avais eu accès hier soir ! Je fus sur le point de lui demander le pourquoi de ce revirement, mais je me ravisai.
Qu’à cela ne tienne! J’entrepris immédiatement de fourrager sous sa jupe. Comme elle était plus ample que la veille, je n’eus aucune peine à atteindre ses fesses d’une main et sa chatte de l’autre. Sa culotte ne fut qu’une formalité car elle était tellement échancrée qu’il fut plus simple de l’écarter. Dans le même temps, je quittai ses lèvres pour l’embrasser dans le cou. La réaction fut la même que d’habitude : elle se cambra en poussant une sorte de hennissement, comme si elle avait reçu une décharge électrique. Aussitôt mes doigts qui titillaient son clitoris furent inondés de foutre, au point que je me demandai même si elle ne venait pas de jouir.
— Tu jouis? lui demandai-je à ...