1. Béatrice se dévoile


    Datte: 26/04/2018, Catégories: fh, 2couples, fplusag, hagé, jeunes, extracon, caférestau, boitenuit, noculotte, Oral init, Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe

    ... tant elle était gluante de la mouille que lui avait procuré ma masturbation. Elle se mit ensuite à monter et descendre en cadence, mais pas trop vite, comme pour savourer chaque centimètre de la tige qui la pénétrait. C’était chaud et doux, et j’avais devant les yeux le spectacle merveilleux de ses fesses que je caressais à deux mains.
    
    Bientôt je la sentis frémir ; les parois de son vagin commencèrent à se contracter autour de mon gland. Elle respirait plus fort. Sa cadence se ralentit. Elle gémit doucement :
    
    — Oh, c’est bon… Mon chéri, c’est bon ! Je sens bien ta queue en moi. Ça vient ! Je vais jouir… Bande bien, mon chéri, bande dur pour moi !
    
    Et puis d’un seul coup jaillit le flot chaud qui m’inonda le sexe, les couilles, collant mes poils aux siens. Elle jouissait à fond, arcboutée sur la table, ma bite enfoncée jusqu’à la garde, le vagin palpitant, mouillant, suintant. Elle gémissait de bonheur. Cela dura longtemps. Puis d’un coup elle s’amollit, s’appuyant du front contre ses bras croisés sur la table. Je n’osais pas bouger, toujours bandé en elle, mes mains caressant ses douces fesses qui frémissaient encore de plaisir.
    
    Le maître d’hôtel risqua un œil et s’éclipsa, conscient d’arriver un peu tôt. Enfin elle s’anima. Elle m’offrit ses lèvres en se retournant.
    
    — Tu es toujours dur ! Tu as joui ? Non ? Tant pis pour toi, moi j’ai fini… Non, mon chéri, je te taquine… Tu as été merveilleux ! Un vrai petit homme! J’ai eu tout le temps pour me faire jouir ...
    ... comme j’aime. C’est rare, tu sais ? Souvent, les jeunes sont trop rapides. Ils sont performants mais trop rapides.
    — Merci du compliment, c’est sympa !
    — Non, c’est vrai. J’espère que… tu restes ce week-end, n’est-ce pas ?
    
    C’est vrai que, finalement, depuis que je l’avais retrouvée, elle n’avait pas posé la question ; mais pour moi c’était évident, sinon j’aurais dû être sur la route de retour.
    
    — Oui ; finalement, on s’est arrangé : nous repartons lundi soir ou mardi.
    — Super ! Puisque tu restes, je veux absolument te présenter mon mari.
    — Ton… ton mari ? Mais, Béatrice…
    
    J’étais totalement interloqué. S’il y avait quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas, c’était bien ça ! Son mari… Elle était folle, ou quoi ?
    
    — Quoi, « Béatrice » ? Tu as quelque chose contre mon mari ? Tu ne le connais pas ! Toi qui fais des études d’ingénieur, il pourrait t’aider, tu sais. Il est à la tête de plusieurs usines.
    — J’en suis sûr ! Mais… toi et moi… Je ne suis pas sûr qu’il soit prêt à m’aider s’il sait que…
    — Que tu baises sa femme ? Ah ! Tu as peur qu’il soit jaloux et qu’il soit furieux parce que nous avons fait quelques parties de jambes en l’air ensemble ? Rassure-toi : si nous sommes mariés, nous ne sommes pas amoureux l’un de l’autre. Ça fait longtemps qu’il a une vie sexuelle indépendante et que moi j’ai la mienne. Ça ne le dérange pas que j’aie des amants, ni que ce soit des jeunots comme toi. Il sera ravi de te rencontrer ; je suis même sûre que… Non je ne te dis ...
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