Béatrice se dévoile
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
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jeunes,
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Oral
init,
Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :Étudiant en stage, je rencontre au cours d’un déplacement une bourgeoise friquée et beaucoup plus âgée que moi dont je deviens l’amant. Très portée sur le sexe, elle me propose de rester pour le week-end alors que je suis censé rentrer. Avec Jean-Claude, mon copain de stage, nous trouvons une astuce pour prolonger ce séjour de baise.
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Je ne peux pas dire que, dans la pénombre du dancing ou de sa chambre, j’avais eu l’occasion de contempler chaque détail du physique de Béatrice. Je la repérai néanmoins facilement à la terrasse du bar où elle m’avait donné rendez-vous. Elle était accompagnée de deux autres femmes qui devaient avoir son âge. Cette fois, j’eus la possibilité de la voir en plein jour.
Elle était jolie de visage, brune aux cheveux mi-longs, avec des yeux bleu foncé. De taille moyenne, elle avait une poitrine assez importante, des hanches étroites et des jambes plutôt fines aux cuisses et aux mollets bien galbées. Elle avait entre 40 et 45 ans, soit sensiblement le double de mon âge. Mais ce qui me frappa le plus, c’était la qualité des vêtements qu’elle portait… et le nombre de bijoux! Collier, bagues, bracelets, broche, boucles d’oreilles, tout y était. Je n’étais pas expert en la matière, mais il semblait bien que ce n’était pas du toc.
Elle m’accueillit avec un grand sourire et fit signe au garçon qui s’empressa de prendre ma commande.
— Ah, Marc ! Tu es arrivé… Je suis contente que tu ...
... sois là. Marc, je te présente mes amies Annie et Marie-Agnès. Mes amies, je vous présente Marc, mon neveu, qui a eu la gentillesse de faire un détour pour venir me voir. Assieds-toi, Marc.
Neveu ! J’étais devenu le neveu ! J’avais envie de rire, mais je gardai le sérieux que la situation nécessitait. Je serrai les mains des deux femmes qui me considéraient d’un œil intéressé et vaguement ironique. Manifestement, si Béatrice souhaitait que notre aventure ne soit pas connue, c’était raté ! Je lus dans leurs yeux que, pas une seconde, ses deux copines n’avaient gobé l’histoire du neveu.
Je n’eus pas à m’immiscer dans la conversation qui tourna court puisqu’elles nous quittèrent très vite avec un sourire entendu.
— On vous laisse en famille…
— On va dîner, mon chéri ? me susurra Béatrice. J’ai retenu une table dans un restaurant pas très loin… Tu viens ?
Je trouvais tout ça un peu surréaliste. Béatrice ne cessait de me dire qu’elle ne voulait pas que les gens qui la connaissaient puissent lui attribuer un amant. Mais en même temps, elle semait des indices partout. Que ce soit dans la boîte de nuit, où le personnel – et sans doute les clientes – n’avaient pas les yeux dans leur poche, même s’il faisait très sombre. Ensuite, elle me donnait rendez-vous en plein jour, à une terrasse où elle m’attendait en compagnie de deux amies qui m’avaient l’air d’être des commères de premier ordre. Et maintenant elle m’invitait au restaurant en tête-à-tête. Tout ça avec l’explication ...