Vengeance funeste
Datte: 02/12/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
vengeance,
pénétratio,
confession,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... défenses allaient mourir avec sa vertu.
Son peignoir ne cachait pas grand-chose de son intimité. Certes, elle semblait un peu maigrichonne, mais ses petits seins semblaient fermes, comme ses fesses. De profil, elle ressemblait même un peu à Françoise plus jeune, avant qu’elle ne s’encombre de quelques kilos. Yvonne était belle, et semblait tellement disponible.
Edmond tournait la cuiller dans sa tasse en essayant de ne penser à rien. Elle le regardait, assise face à lui, sa tasse entre les mains, les coudes posés sur la table, les jambes croisées, avec un sourire espiègle. Il faisait tout petit, tout timide, dans sa tenue bariolée de pêcheur à la truite.
Nulle conversation, nul échange de mots. Ils semblaient tous deux prêts à se regarder pendant des heures.
Son café terminé, elle s’est levée pour aller poser sa tasse vide dans l’évier. Nonchalamment, elle est revenue vers lui, s’est penchée vers son visage alors qu’il ne savait plus quoi faire, et a posé un baiser sur ses lèvres. Un baiser chaste, rapide, et un petit mot, simple, « merci ».
Puis elle s’est rassise, rouge comme une pivoine, pendant qu’Edmond regardait le fond de sa tasse.
Elle aurait pu attendre des heures, il n’aurait rien fait. Alors elle a pris l’initiative. Elle a ôté la ceinture de son peignoir, s’est levée, s’est approchée de lui en ouvrant les pans, puis s’est assise à califourchon devant lui, sur ses cuisses. Elle a passé ses bras autour du cou d’Edmond, et lui a offert sa bouche. ...
... Maladroit, il osait à peine entrouvrir ses lèvres, honteux de ce qu’il était en train de faire. Sentant sa résistance, elle a saisi une de ses mains pour la poser sur ses seins, et enfin il s’est activé. Le contact de ce jeune corps offert, doux et chaud, lui a fait perdre sa retenue.
Quelques minutes plus tard, ils étaient nus, à même le sol. Yvonne à genoux, et lui derrière, ne faisaient plus qu’un. Edmond regardait sa queue pénétrer cette jolie petite chatte serrée, et lui revenaient les souvenirs de ses premières fois avec sa femme. Visuellement, c’était assez semblable, mais l’intensité n’était pas comparable. Yvonne était chaude, active, vorace. Elle réclamait qu’il la prenne plus fort, qu’il la fouille profondément, qu’il la bouscule. « Baise-moi », il avait crû jusque-là ne jamais entendre ça, et elle le lui répétait à l’envi.
Elle était en sueur, ardente, exaltée.
Plusieurs fois ils se sont arrêtés pour laisser à Edmond le temps de reprendre ses esprits. Elle voulait qu’il la baise longtemps, qu’il la fasse jouir, qu’il la possède vraiment.
Puis elle s’est retournée, sur le dos, comme une femme honnête, et elle lui a demandé de ne plus s’arrêter, de profiter d’elle, de prendre son plaisir. Encore une fois, il a ressenti des émotions enfouies. C’était presque le corps de sa femme qu’il étreignait avec douceur. Elle était si belle, si tendre, si amoureuse, si accueillante.
— Viens, viens, lui a-t-elle dit.
Comme s’ils se connaissaient depuis toujours, ...