Un amour de tante
Datte: 27/11/2020,
Catégories:
ff,
fplusag,
oncletante,
intermast,
Oral
fgode,
initff,
Auteur: Nicogarner, Source: Revebebe
... bienveillants.
— Oui, ils vont bien. La vie stressante de Paris semble leur convenir à merveille, ils semblent heureux comme ça !
— Tant mieux !
— Tu as besoin d’aide ?
— C’est pas de refus.
Ingrid la rejoignit dans la cuisine. Pendant que sa tante préparait le repas, Ingrid disposa assiettes et couverts sur des plateaux, installant le tout dans la salle à manger, sur une splendide table en verre fumé. Elles se mirent assez vite à table et dînèrent avec appétit. Le vin, après la bière, coula généreusement. Vers onze heures, elles étaient à moitié ivres, riant pour un rien, se moquant et critiquant le monde entier. Elles s’installèrent devant la télé. Ingrid se laissa tomber sur le canapé, tenant à peine sur ses jambes. Avant de la rejoindre, Julie posa ses mains sur sa taille, se déhanchant exagérément.
— On s’est empiffrée comme des cochonnes ! C’est pas comme ça que je vais perdre mes kilos !
— Arrête ! Tu es parfaite.
Son corps voluptueux impressionnait Ingrid. Elle avait beaucoup de charme. Il se dégageait d’elle une énergie sexuelle qui émanait comme de l’électricité, cette aura de sensualité qu’Ingrid n’avait jamais encore perçue sur aucun homme, et encore moins sur une femme… Avec une femme pareille, les hommes devaient perdre leurs moyens, se laisser étourdir et dominer. Julie était du genre à tenir les rênes et imposer sa volonté. Son âge jouait en sa faveur, de l’expérience qui ne s’interdisait aucun tabou et aucune perversion, que plus personne ne ...
... pouvait surprendre. Malgré ses rondeurs, son ventre était ferme et ses cuisses musclées. Les hommes devaient être fous de ses hanches généreuses et, surtout, de ses seins volumineux, lourds, qui devaient répondre aux fantasmes masculins les plus exigeants. À ces pensées impudiques, Ingrid se sentit embarrassée. Cela n’était pas dans ses habitudes, elle avait trop bu. Elle ne s’offusqua pas lorsque la conversation dérapa sur des sujets plus personnels, où Julie lui demanda comment elle avait connu Gilbert et ce qui lui plaisait chez lui. Quand Ingrid répondit un peu mièvrement, elle se fit insistante. Elle voulut savoir si elle l’aimait. Là, Ingrid pouffa.
— Il est gentil.
— Gentil ? C’est tout ? Tu es avec lui parce qu’il est tout simplement gentil ?
— Oui, et doux, attentionné, avec d’autres qualités sans doute. Je suis bien avec lui. Mais c’est trop tôt pour parler d’amour.
— C’est déjà bien de le reconnaître. Et au lit, il est bon au moins, ou gentil tout simplement ?
Ingrid sentit la crise de fou rire monter. Une idée saugrenue lui traversait l’esprit et elle n’arrivait pas à s’en défaire. Julie sentit son hilarité et s’empressa de demander :
— Quoi ? Vas-y, parle.
— C’est que… Voilà, je n’ai jamais attaché d’importance à la taille du sexe de l’homme, car pour moi c’est futile et insignifiant tout ça, mais Gilbert a un tout petit… un tout petit pénis !
Elles éclatèrent de rire en même temps. Une lueur d’intérêt s’alluma dans les yeux de Julie. Elle simula ...