Trois jours près d'elle
Datte: 27/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
Première fois
Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster
... que je lui caresse les cuisses.
Je me penchais légèrement en avant tout en commençant à l’effleurer en mouvements circulaires avec la paume des mains . Je m’occupais tout d’abord de ses tendres mollets, puis cajolais ses genoux avant de dévoiler doucement ses cuisses fascinantes et si douces.
En remontant ainsi jusqu’à ses hanches, je découvris que son sexe n’était pas nu , mais offrait sa splendeur à mon regard , moulé qu’il était dans un tissus blanc tendu , pénétrant dans sa fente d’amour.
C’est alors que d’elle même elle dégagea le haut de sa robe pour révéler qu’elle portait en dessous un charmant maillot de bain une-pièce blanc qui la moulait entièrement du haut de ses seins jusqu’à l’entrecuisse.
Elle se dégagea totalement de l’étoffe sombre ne gardant plus sur elle que le maillot moulant et les chaussures à talon haut.
Elle était face à moi debout, fière, droite, les jambes tendues et musclées légèrement écartées. Mon nez humait ses odeur secrètes. J’entrepris alors de masser doucement les globes de ses fesses.
Au moment où je la sentais s’abandonner, elle pivota sur elle même, et m’offrit le spectacle d’un superbe plongeons et une vue ravissante sur sa croupe si douce.
Elle nageait merveilleusement malgré ses sandales. "Viens me rejoindre, elle est bonne!.J’ai envie de te sentir contre moi!".
Déjà passablement déstabilisé par les mouvements de son plongeon, je faillis tomber de la barque alors que maladroitement je me déshabillais pour ...
... n’être plus qu’en maillot.
Quelques secondes après j’étais dans l’eau près d’elle. Elle était plus radieuse que jamais, son sourire était éclatant, presque enfantin. Pendant que nous nagions vers la rive l’un près de l’autre, je pensais à tous ces moments de bonheur magique qui allaient bientôt prendre fin.
Florient devait revenir dans l’après-midi. Nous n’avions plus que quelques heures de liberté.
Elle sembla avoir remarqué ma soudaine tristesse. Sans un mot elle s’approcha de moi.
Bien que loin du bord, je commençais déjà à avoir pied. J’étais debout lorsqu’elle vint se lover dans mes bras. Elle s’assit sur mes hanches et me serra fortement avec ses cuisses de telle sorte que je sentis à travers nos maillots sa motte secrète buter contre mon sexe tendu.
Elle me caressait les cheveux tout en couvrant mon visage de baisers. Elle m’embrassa profondément. Nos langues se frottaient à s’en faire mal et puis sa chaleur se répandit sur mon sexe.
Sa langue me léchait le cou, puis le lobe de l’oreille. Agrippée à mes épaules elle commençait à faire glisser en petits va-et-vient son abricot humide sur mon gland. J’accompagnais ses mouvements en soulevant sa croupe avec mes mains. Bientôt j’en plaçais une sous son maillot, dans la raie de son cul, et me mis à frotter sa rosette fripée au contact de l’eau.
Dans cette position elle était à demi hors de l’eau. Son maillot blanc, trempé, devenu transparent, dévoilait totalement la beauté de ses seins. Je pensais qu’elle ...