1. Trois jours près d'elle


    Datte: 27/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Première fois Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster

    ... noir et transparent. Elle m’apparaissait ainsi, alors qu’elle venait de s’asseoir en face de moi, plus nue encore que si elle avait été dans le plus simple appareil. Chacun de ses vêtements était comme le signal d’une offrande d’une partie de son corps qui m’était destinée. Comme un appel à la caresse et à la perversion.
    
    En attendant elle était là , à manger tout en me dévorant des yeux, de ses yeux superbes, encadrés par l’ovale parfait de son visage. Les boucles sombres de ses cheveux caressaient son doux visage.
    
    A la fin du repas elle prit ma main et m’accompagna dans sa chambre. Alors elle fit glisser mes vêtements en dessous de la ceinture jusqu’à mes pieds, et s’agenouilla pour emboucher mon sexe et le pomper goulûment.
    
    Au bout d’un instant, alors que je bandais dur, elle me fit basculer sur le lit.
    
    J’étais allongé sur le dos . Elle fit glisser à son tour son short moulant et vint s’allonger tout du long sur mon corps. Le fourreau de sa chatte poisseuse et brûlante enveloppa vite mon sexe dressé. Puis, par des mouvements imperceptibles de ses reins, elle fit coulisser ses chairs intimes sur mon sexe. Bientôt je jouissais en elle.
    
    Je m’endormis ainsi comme englouti dans ses chairs.
    
    Dimanche
    
    Le lendemain matin une fois encore je me réveillais sans la trouver auprès de moi. Juste un bout de papier et son écriture: " Rendez-vous à neuf heure au bord du lac à côté de la barque. Prévois un maillot de bain et beaucoup de plaisir…" et pour seule signature : ...
    ... "la maman de Florient".
    
    Je rejoignais le petit lac qui se trouvait à l’extrémité de la propriété.
    
    Elle m’attendait mi-assise mi-allongée sur la barque .
    
    Etonnamment une fois encore pour un tel endroit, elle portait une robe de soirée de satin bleu largement fendue du côté droit qu’elle avait légèrement remontée, sans doute pour s’asseoir, à tel point que je voyais le plis délicieux de son aine. Elle ne semblait pas porter de culotte. Ses pieds charmants au galbe délicat et fin, parés d’un subtil vernis cerise, étaient habillés à peine de légères sandales assorties à la robe. En fait ces talons hauts et ces sangles fines qui enserraient ses chevilles graciles complétaient merveilleusement le tableau somptueux et terriblement sexy des longues jambes étendues de ma ravissante bourgeoise.
    
    La barque était suffisamment grande pour qu’à son invitation je puisse m’y installer, sans qu’elle eu besoin d’accomplir un autre mouvement que celui de son regard étincelant qui m’enveloppait de son attention, et que celui de son léger sourire.
    
    Ses épaules aux arrondis parfaits n’étaient recouvertes que de fines bretelles transparentes.
    
    Cette fois encore, je ne l’avais jamais trouvée aussi désirable, un peu comme si à chaque rencontre j’avais l’impression de la voir pour la première fois. En même il y avait toute cette complicité presque a****le entre nous, où la parole avait si peu de place.
    
    Il suffit ainsi d’un seul geste de sa part pour que je comprenne qu’elle désirait ...
«12...131415...20»