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Féminisé... (1)
Datte: 25/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Emil, Source: Xstory
... amuse beaucoup et elles s’en donnent à cœur joie multipliant à l’infini les petits mouvements secs du poignet. Je supplie : « grâce ! ». Elles rient et accélèrent leurs mouvements. Mon sexe dur et raide dément ma supplique, ainsi que mon gémissement perçant quasi continu. Le féminin le dispute au masculin avec ardeur dans tout mon être ! Une fois détaché de mes inconfortables liens, le jeu continue. Je dois encore lécher les culs et les vulves qui n’ont encore connu ma langue. Pour ce faire je me vois doter d’un collier de cuir clouté et suis promené en laisse d’un objectif à l’autre. Chacune se laisse humer, goûter et j’apprécie leurs différences du poivré au suave, du floral au sucré... Je finis par calmer mon sexe érigé comme mon alter ego canin le ferait. Je m’excite sur les genoux des deux plus grandes. J’aime le confort des cuisses de Veronique mais aussi la rudesse des muscles d’Anoko. Lauriane quant à elle m’offre sa croupe frétillante que je m’empresse de chevaucher et nous nous envoyons tous deux en l’air en levrette. Son sexe est trempé mais serré juste comme il faut. Notre excitation augmente d’autant plus vite. Je compense la dimension modeste de mes appâts en donnant de violents coups de reins qui me maintiennent collé à mon amante. Au moment ultime, je sens un index épais entrer en moi et se mettre à masser ma prostate à la recherche de mon point G. Ce petit geste a un impact presque immédiat sur tous deux et nous vibrons quasiment à l’unisson. ...
... Maintenant, je me sens chienne. Jusqu’où vais-je me laisser emporter ? Quels plaisirs inconnus vais-je encore découvrir ? Ce dernier exercice a achevé de pomper tout ce qui me restait d’énergie. Je me laisse glisser au sol sur le flanc entraînant avec moi celle qui vient de me donner ce plaisir. Nous nous ébrouons puis nous endormons à demi, moi sur le dos membres écartés, elle, poids plume, étalée sur moi comme si elle voulait totalement me recouvrir. Nos deux compagnes s’installent sur nos flancs, soudées à nous, et leurs mains voyagent mollement sur nos deux corps. Je sens les tétons durs et proéminents de Lauriane sur ma poitrine comme s’ils voulaient compenser son absence de seins. Mon esprit s’évade en rêveries érotiques. Je somnole bercé par les respirations régulières de mes compagnes. C’est la fraicheur du soir qui me réveille. La proximité des filles fait que je la ressens uniquement au bout de mes doigts et de mes orteils humectés de rosée et, paradoxalement, entre mes fesses. J’ai l’impression qu’après les outrages mes sphincters sont restés ouverts et que la fraicheur végétale remonte à l’intérieur de moi. Je peine à me lever, à quatre pattes d’abord puis en tournant sur moi-même en une rotation obscène. Voilà qui m’excite insensiblement à nouveau ! Je ne suis plus qu’un réceptacle ouvert aux quatre vents... Mes compagnes se lèvent et s’ébrouent. Elles me signifient une apparente fin des jeux en enfilant robes et chaussures. Quand je fais mine d’attraper mon ...