Féminisé... (1)
Datte: 25/11/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Emil, Source: Xstory
... pour mieux me préparer à l’inéluctable. Il s’est dilaté à merveille sous le coup du désir, mieux qu’il ne l’avait jamais fait jusqu’ici.
Au matin, dès le réveil, je recommence à me peloter encore sous l’effet obsessionnel des rêves érotiques qui ont émaillé ma nuit. Cette fois ci je n’atteins pas le plaisir de la veille. Mon corps entier et mon esprit sont totalement mobilisés vers la promesse d’une soirée d’extase. Je déambule dans la maison comme une âme en peine, totalement nu. Le temps doux et ensoleillé m’attire sur la terrasse où je m’exhibe aux quatre vents, le sexe à demi dressé. Je n’aperçois personne et pourtant j’imagine quelque voisin (e), embusqué(e) derrière l’huis, se délectant de la contemplation de mon intimité. Je m’étale sur un bain de soleil, offert, écartelé. Les heures passent et la torture ne fait qu’augmenter. Parfois j’écarte mes fesses pour ressentir intimement l’effet du soleil. Quel plaisir ! Je suis prêt à tous les outrages. Après un déjeuner frugal et une dernière toilette, je ne supporte plus d’attendre.
J’enfile à même la peau un short minimaliste et un marcel près du corps, accompagnés de confortable chaussures basses de randonnée garnies de mini-chaussettes. Je serais sans doute moins « sexe » si j’étais complétement dénudé. Quelques affaires plus protectrices sont stockées dans un petit sac à dos que j’emmène au cas où.
Je quitte mon domicile à pied en tout début d’après-midi. Le chemin est agréable et ma provoquante presque ...
... nudité ajoute encore au plaisir de la balade. De nombreux petits bois alternent avec les champs cultivés et de minuscules hameaux. J’espère que, derrière leurs fenêtres, quelques habitants mesureront mon indécence. J’arrive à proximité du site choisi vers 16h sans pouvoir vraiment le localiser précisément avec le GPS de mon Motorola. Quelques recherches empiriques me permettent de trouver un étroit chemin qui débouche, en quelques instants, sur une clairière tapissée de mousse et garnie de plusieurs troncs d’arbres imposants disposés en arc de cercle. Nous sommes pile aux coordonnées indiquées. L’endroit est désert, accueillant, à l’évidence aménagé par des mains humaines respectueuses de la nature. Je m’y sens très vite chez moi et arrache ma vêture.
Vais-je leur plaire avec mes larges cuisses, mon ventre rond, mes seins de fillette, mon petit sexe sans prépuce, mes longues bourses, mes cheveux gris, mon visage régulier orné de lunettes métalliques ? Heureusement, mes vacances tardives l’an passé à la mer et la pratique du naturisme m’ont laissé un teint de peau uniforme. Nu à l’envi, je m’assois sur un rondin comme pour participer à un cénacle et rêvasse. Après une bonne demi-heure, je me couche en travers de ce fût, tête en bas, fesses en l’air, pour tester le confort de la position qui me sera sans doute bientôt assignée. Je m’y trouve totalement à mon aise et m’ennuie de connaître enfin le bonheur de l’outrage. Je tue le temps en nettoyant le site de quelques brindilles, ...