1. Féminisé... (1)


    Datte: 25/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Emil, Source: Xstory

    ... se calme peu à peu. Profitant de ma position, Anoko en profite pour glisser sa longue langue dans mon cul en feu bien dilaté. Je me laisse tomber sur le flanc, puis m’installe sur le dos les jambes largement écartées repliées sur mon torse. La basketteuse s’appuie de tout son poids sur mes cuisses et poursuit son ouvrage. Elle extrait de son sac un énorme de godemichet qu’elle propose à Lauriane d’introduire profondément moi.
    
    Chose faite, j’ai l’impression d’être empalé, mes viscères traversées par un gigantesque serpent. L’appareil vibre et coulisse dans mon cul à la fois. Je ne m’appartiens plus ! Je me tords, amplifiant du coup les sensations produites. Je subis des orgasmes multiples de faible amplitude comme seules les filles me paraissaient capables d’obtenir. J’entends les filles éclater de rire. « Promesse tenue ! » dit l’une. « Quelle lamentable lopette ! » dit l’autre. « On n’a pas fini de jouer avec cette petite pute ! » dit la troisième. Et leur rire sarcastique continue pendant de longues minutes tandis que l’une me claque les fesses, que l’autre me pince les seins et que la troisième tord le sexe. Au moment où cet outil sort de moi je me réjouis et m’étonne de me sentir autant femelle !
    
    Le soleil est encore haut dans le ciel et le temps ne nous est pas compté. Mes trois compagnes devisent assises sur les rondins, nues, magnifiques. Je gis lamentable couché sur le flanc dans la mousse quand soudain leur babil cesse. Je sens des bras puissants d’Anoko qui ...
    ... saisissent sous les aisselles et me soulèvent. Puis elle me laisse glisser tout doucement contre sa poitrine jusqu’à ce que mes bras prennent appui sur ses épaules et mes cuisses sur ses hanches. Véronique m’écarte largement mes fesses de ses petits doigts boudinés. La géante est ceinte du gode utilisé par Lauriane qui s’enfonce progressivement en moi. Aidé par les filles je me soulève et redescends sur l’ustensile collé à ma porteuse musclée. Malgré l’inconfort de la position, le plaisir me gagne à nouveau et me vaut des chapelets de noms d’oiseaux dont « salope » me paraît le moins insultant. Lorsque je lâche mon foutre sur la peau de la belle africaine mes compagnes s’énervent un peu.
    
    Après m’avoir déposé à plat ventre au travers d’un des troncs, derrière en l’air, elles s’arment de poignées d’orties et commencent à m’en fouetter les fesses, le dos et les cuisses. Paradoxalement, la douleur ajoute encore à mon plaisir et je me tortille, lascif, obscène. Mes compagnes exultent et s’arment alors de cordelettes. Elles m’attachent écartelé entre deux arbres solides, en équilibre instable, les cordes meurtrissant la chair de mes poignets et de mes chevilles. Elles coupent des jeunes pousses en badines souples et les utilisent pour me fouetter dos, ventre et quelques endroits plus sensibles. Elles ne sont pas particulièrement brutales. Lorsqu’elles concentrent leurs coups sur mon entrecuisse, je me mets à bander alors que seuls des cris de douleur sortent de ma bouche. Cela les ...
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