1. Esclave aux pieds des femmes


    Datte: 25/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... toujours le sexe de son amie. La surprise m’a fait frémir, mais je n’en ai pas moins continué mon action linguale. Muriel a enfin joui, en serrant bien fort les cuisses, comme convenu. Je n’ai pas arrêté de la sucer, malgré la douleur qui me venait à la fois de l’articulation malmenée de ma mâchoire et de l’écartèlement de ma pauvre rosette défoncée à sec par l’épaisse tige noire. Muriel, stimulée par mes souffrances, n’en finissait pas de se tordre de plaisir.
    
    Ensuite, elles m’ont ordonné de m’allonger sur le dos, par terre, et, montant toutes deux sur mon corps, debout, elles m’ont piétiné tout en s’embrassant et se bécotant amoureusement. J’étais écrasé par leur féminité triomphante, et je trouvais cela délicieux. Surtout, il ne fallait pas bouger sous peine de risquer de les faire tomber. Ma maîtresse aurait été très en colère. Je vous laisse imaginer les sanctions qui auraient déferlé sur moi.
    
    Ma récompense a été à la hauteur de mon dévouement. Largement ! Car elles se sont assises l’une à côté de l’autre, sur le sofa, tandis que je me tenais à genoux, face à elles. Mes deux dominatrices m’ont branlé avec leurs quatre ravissants petits petons ! Je n’aurais pas pu rêver mieux : cela méritait bien toutes les peines que je venais d’endurer avec complaisance. L’une branlait ma verge, l’autre mes testicules. Je n’ai pas tardé à éjaculer. Il y avait énormément de sperme, à cause de ma longue période d’abstinence forcée. Les pieds étaient ruisselants de foutre luisant. Tout cela était merveilleux. J’ai joui comme jamais. Elles ont ri de concert à cause de mon air béat.
    
    Puis, j’ai été obligé de nettoyer les petons avec la langue, en aspirant ma propre semence.
    
    Corinne est rentrée seule à l’appartement : elle m’a prêté pour une semaine à son amie, qui, pendant tout ce temps, m’a fait subir d’incroyables et merveilleux tourments sexuels, axés le plus souvent autour de ses pieds qu’elle avait fantastiquement beaux. Comme toutes les femmes.
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