1. Esclave aux pieds des femmes


    Datte: 25/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Ce soir-là, ma maîtresse Corinne était nonchalamment alanguie sur le sofa lorsque je suis rentré du travail. La belle brune quinquagénaire était, comme à son habitude, élégamment vêtue d’une longue robe noire qui recouvrait ses jambes jusqu’à ses chevilles. Elle téléphonait et sa conversation tournait manifestement autour d’une relation sexuelle qu’elle avait eue la journée avec une autre femme – je la savais bisexuelle. Un moment de plaisir coquin et partagé dont elle ne se cachait pas.
    
    Je n’avais pas mon mot à dire, car j’étais son esclave sexuel, et un esclave ne doit être vêtu qu’avec la permission expresse de sa maitresse. Pour ne pas risquer une punition qui eût été cruellement sévère, je me suis déshabillé entièrement. Corinne a vérifié visuellement que je portais toujours ma cage pénienne. Puis je me suis mis à genoux devant elle et, du bout des lèvres, j’ai commencé à bécoter les petons charmants, recouverts avec soin d’un vernis écarlate à peine sec.
    
    Puis j’ai pris la bouteille d’huile parfumée de grand prix que je venais d’acquérir, afin de masser les pieds de mon adorée. J’ai toujours été un expert dans ce domaine, car je suis pourvu d’un don inné qui me permet de dispenser aux dames une joie sensuelle à travers ces organes de la marche. Tout de suite, j’ai reçu une très belle récompense, car elle m’a souri, ce qui ne lui arrivait que rarement et seulement quand je le méritais pleinement. J’étais le plus heureux des hommes. Je pouvais même espérer qu’elle ...
    ... acceptât de me branler avec ses charmants petons, ce qui ne s’était pas produit depuis exactement 35 jours : le temps depuis lequel je n’avais pas pu éjaculer la moindre goutte. La frustration m’était plus cruelle que n’importe quelle cravache ou fouet. J’étais devenu fou de désir. Parfois, je la suppliais en pleurant de me permettre de me branler. Les larmes s’écoulaient sur les orteils de mon altière déesse, ce qui l’excitait beaucoup. Elle ne cédait que rarement.
    
    Mais ce jour-là, nonobstant la privation de sexe qui torturait mon bas-ventre, je restais concentré. Il fallait que je fasse attention à ne pas la chatouiller ni abimer son vernis, sous peine de recevoir un châtiment mérité. Parfois aussi, Corinne me punissait arbitrairement, parce que tel était son bon plaisir de me voir souffrir pour elle. J’acceptais tout ce qu’elle m’infligeait avec une grande joie, et ce n’était qu’à regret que je la voyais ranger ses instruments de supplice.
    
    – Tu veux faire sa connaissance, ma chérie adorée, entendais-je dire Corinne à son amante ? Pourquoi pas ?
    
    …
    
    – Maintenant, si tu veux ! Attends, je te l’amène.
    
    Elle a raccroché, puis m’a dit d’un ton sec :
    
    – Zéro cinq, va chercher ton collier de chien. Nous sortons.
    
    Elle m’appelait 05 parce que j’étais son cinquième esclave depuis qu’elle en prenait chez elle. Je me suis empressé de récupérer cet objet dans son tiroir, puis elle me l’a passé autour du cou. Il était douloureusement serré, comme il convenait à un soumis. ...
«1234»