1. Esclave aux pieds des femmes


    Datte: 25/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... !
    
    – J’ai hâte de voir de quoi il s’agit.
    
    Le paquet était soigneusement emballé dans du papier cadeau.
    
    – Oh, ma chérie, il ne fallait pas !
    
    C’était un grand vibromasseur de type « Hitachi », qui se branche sur le secteur, avec une grosse boule et un accessoire en silicone permettant de stimuler l’intérieur du vagin.
    
    – J’ai hâte de l’essayer.
    
    – Maintenant, si tu veux ! J’ai envie de te regarder jouir !
    
    – Régale-toi, ma coquine chérie !
    
    Les deux amantes se sont à nouveau embrassées à en perdre haleine, langues roulées l’une sur l’autre avec fougue, tout en laissant balader leurs mains sous les vêtements, afin de peloter les seins et le dos, jusqu’aux croupes replètes et les sillons fessions entre lesquels les doigts s’aventuraient à la découverte du trou caché. Toujours positionné à genoux, je n’en pas perdu une miette, et la scène me faisait désespérément bander – mais je savais que je n’avais pas le droit de toucher à mon pénis sans la permission de ma maîtresse.
    
    Corinne a branché son nouveau jouet, s’est installée dans un fauteuil, les genoux pliés, les jambes relevées et les pieds nus posés à plat sur l’accoudoir. Elle a relevé sa robe et s’est masturbée à travers sa petite culotte de dentelles rouge, sans l’accessoire vaginal. Tout de suite, elle a commencé à gémir sous l’effet des bienfaisantes vibrations.
    
    – Mon trésor adoré, tu sais toujours comment me faire plaisir !
    
    – J’adore te voir heureuse. Tu ne peux pas savoir comment ça ...
    ... m’excite. Je suis toute mouillée !
    
    – Si tu veux te faire sucer la chatte, tu peux utiliser 05. Il est dressé pour ça. Profites-en.
    
    – Pourquoi pas !
    
    – Pense à bien serrer les cuisses, quand tu jouis, pour lui broyer la mâchoire et qu’il ait mal. J’adore le voir souffrir.
    
    – Moi aussi, ma chérie. Oh, je sens que nous allons bien nous amuser, toutes les deux.
    
    Notez bien, chères lectrices et chers lecteurs, qu’elle n’a pas dit « tous les trois ». À ses yeux comme à ceux de ma propriétaire, je n’étais qu’un banal objet, dévolu à leur satisfaction sexuelle et sadique.
    
    Muriel a préféré se mettre entièrement nue afin de se faire sucer. Elle a lancé sa culotte en direction de son amie qui a humé le cache-sexe blanc inondé de moiteurs féminines tout en continuant à se branler. Puis, assise sur le canapé, elle a écarté les jambes et a tiré sur la laisse afin de me faire venir vers elle à quatre pattes. Elle a mis longtemps avant de jouir. J’étais plongé dans une délicieuse odeur de femme dont le sexe herbu diffusait une abondante et brulante mouille que je lapais au fur et mesure que le nectar s’écoulait.
    
    Pendant ce temps, Corinne s’est offert plusieurs orgasmes vibratoires qu’elle exprimait à grands cris. Puis, je suppose – car, le visage plongé dans une chatte, je ne pouvais rien voir – que c’est à ce moment-là qu’elle a revêtu le gode-ceinture noir qu’elle transportait constamment dans son sac à main, car j’ai senti qu’elle m’a brutalement enculé tandis que je léchais ...