1. Esclave aux pieds des femmes


    Datte: 25/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... Puis elle a accroché la laisse à l’anneau qui se trouvait sur le devant, et m’a tiré vigoureusement vers elle.
    
    – Je t’enlève ta cage, mais pas de bêtises, 05 !
    
    – Oui, maîtresse, fis-je en baissant les yeux.
    
    Excité par la situation, je bandais comme un cerf, car j’avais hâte de connaître son amante avec laquelle elle avait échangé des blandices entre femmes au cours de la journée, pendant que je travaillais afin de gagner de l’argent pour qu’elle puisse s’amuser comme elle l’entendait. Les samedis après-midi, il m’arrivait couramment de la suivre comme un petit chien au cours de ses après-midis de shopping au centre-ville, avec ma carte bleue entre les dents et les bras chargés de sacs de vêtements, prêt à régler sans sourciller la dépense pour le moindre de ses caprices. Lorsqu’elle me demandait mon avis entre deux robes ou corsages, il me fallait toujours lui indiquer l’article le plus cher pour ne pas encourir son courroux. Quitte à mettre mon compte en banque dans le rouge, mais cela, c’était mon problème. Les soumis qui me lisent savent de quoi je parle.
    
    C’était donc entièrement nu que je l’ai accompagnée dans l’ascenseur. Un autre couple nous a accompagné quelques étages : ils ont eu l’air surpris, et amusés, mais ils n’ont pas fait de commentaire sur ma tenue plus que légère, malgré de froid hivernal qui régnait à l’extérieur. Corinne tenait fermement ma laisse en mains. Je gardais mes mains jointes dans le dos pour résister à la tentation de me ...
    ... masturber, malgré l’appel lancinant de mon sexe inassouvi et levé qui suintait sa rosée du désir. Celle-ci s’écrasait, goutte à goutte, sur le trottoir gelé. Quelques passantes adolescentes s’amusaient à me voir nu et bandant. L’une d’elles m’a même tripoté quelques instants les parties intimes, avec la permission de ma maîtresse. Heureusement que nous ne nous sommes pas faits embarquer la police.
    
    Quand Muriel nous a ouvert la porte de son appartement, je grelottais, mais ne m’en suis pas moins mis à quatre pattes afin d’embrasser notre hôtesse sur les pantoufles, tandis que ma maîtresse l’embrassait à pleine bouche.
    
    – Tu es rayonnante, ma chérie, a dit Muriel.
    
    – Toi aussi, mon adorée !
    
    J’ai délicatement retiré à ma belle propriétaire ses chaussures, pour les poser dans l’entrée.
    
    – Je peux, a demandé Muriel à mon intention ?
    
    – Bien-sûr !
    
    Ma cruelle maîtresse a tiré sur la laisse afin de m’obliger à me redresser sur mes genoux, et Muriel, après avoir retiré ses pantoufles, m’a donné un grand coup de pied dans les testicules, ses orteils recroquevillés. J’avais beau en voir l’habitude, j’en ai eu le souffle coupé. En voyant mon air ridicule et ma grimace de douleur, elles ont éclaté de rire.
    
    – M… merci, Madame, dis-je néanmoins pu bredouiller.
    
    – Tu l’as bien éduqué, bravo. Il est poli.
    
    – Avec les esclaves, de nos jours, il faut bien, sinon ces imbéciles feraient n’importe quoi !
    
    – Viens, allons nous installer dans le salon ! J’ai une surprise pour toi ...