1. Le préparateur - 1


    Datte: 24/11/2020, Catégories: h, fh, jeunes, cadeau, noculotte, Auteur: FloreanMC, Source: Revebebe

    ... se relève, légèrement tremblante, et ramasse ses vêtements sans se donner la peine de les remettre. Elle a des fesses bien pleines, des hanches larges. J’agonise de la regarder !
    
    — C’était parfait, Docteur. Le jeune homme a parfaitement rempli son rôle : je vais recommander ce service à mes amies.
    
    Ma mère me fait un clin d’œil complice et étouffe un petit rire. Son front est légèrement humide, elle est en sueur ; il doit faire très chaud dans son cabinet. Sous la blouse entrouverte, le chemisier blanc lui colle à la peau et dessine ses formes tout en rondeurs généreuses.
    
    — Il a su se tenir ?
    
    Élisabeth me caresse la joue.
    
    — Oui, il est poli et obéissant. Vous avez dégoté une vraie perle.
    
    Ma mère se dirige vers son cabinet.
    
    — Alors c’est à nous ; suivez-moi.
    
    Elle ne nous regarde plus. Élisabeth s’approche et me touche l’entrejambe d’une manière appuyée et tendre. Sa main est comme un choc électrique sur mon sexe ravagé d’excitation. Elle se penche vers moi et chuchote :
    
    — Quand tu te finis, pense bien à moi… Pense que je serai toute nue derrière cette porte, avec ta mère… Qui sait ce qui s’y passe ?
    
    Son parfum m’enivre. Ses mots m’excitent au-delà du supportable. Elle me glisse sa culotte dans la main, ses lèvres effleurent juste les miennes, elle sourit et disparaît. Je la suis du regard jusqu’à ce qu’elle referme derrière elle, ne manquant rien de son cul bien plein et équilibré qui roule avec grâce à chacun de ses pas.
    
    Je déglutis.
    
    Je ne ...
    ... peux plus attendre. J’ouvre ma braguette. Attrape ma queue sans ménagement. Porte la culotte à mon nez. L’odeur épicée de son sexe mélangée aux effluves de son parfum me frappe les sens. Je revois les lèvres de son sexe nu, ouvertes, roses, les doigts qui entrent et sortent du vagin tendre. Son orgasme implorant, presque dans mes bras, sa bouche attendant la mienne. La torture de sa présence que je ne pouvais toucher.
    
    J’explose dès les premières caresses. Les spasmes de plaisir sont délicieux et douloureux à la fois. Le sperme vole librement sur le carrelage blanc de la pièce.
    
    Je reste longuement le nez dans la culotte après avoir joui. Queue à la main. Meurtrie. Repue.
    
    Je nettoie le sol rapidement, la tête dans les étoiles, débraillé mais soulagé.
    
    Quand je reprends mes sens, ma mère est là, dans la pièce ; elle m’observe d’un air bienfaisant. Elle est en nage, dans la lumière du soleil qui inonde maintenant la petite pièce. Elle me sourit, vient m’embrasser sur la joue et me parle doucement.
    
    — Les patientes ont toutes apprécié tes services. Elles étaient prêtes pour leurs examens ; ça a été une aide précieuse pour moi. Je serais reconnaissante que tu veuilles continuer ce job.
    
    Je hoche la tête, en espérant ne pas paraître trop impatient et enthousiaste.
    
    Elle sourit encore.
    
    — Très bien. Attends-moi à la voiture, j’arrive dans un instant.
    
    Avant de quitter la pièce, elle me glisse :
    
    — Oh ! J’oubliais : Madame Élisabeth revient dans deux semaines ; ...
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