Le préparateur - 1
Datte: 24/11/2020,
Catégories:
h,
fh,
jeunes,
cadeau,
noculotte,
Auteur: FloreanMC, Source: Revebebe
... rien du tout. La voix de ma mère résonne dans ma tête :
— Fais ce qu’elles te disent, sans discuter…
Elle ouvre les bras pour que je la déshabille plus facilement.
— Venez.
J’obéis. Je déboutonne sa robe, un bouton après l’autre. Elle me fixe en souriant, gênée. Elle porte un soutien-gorge léger, blanc cassé, qui ne dissimule pas beaucoup ses petits seins. Des grains de beauté constellent sa peau pâle. Je pose sa petite robe sur le portique.
— Voilà…
— La culotte aussi, non ?
J’ai le cœur qui bat à tout rompre, mais je fais glisser la culotte de coton le long de ses jambes blanches et lisses. Je détourne le regard, n’ose pas poser mes yeux sur sa nudité. Sur son sexe nu.
— Merci.
Elle s’assied sur la table de soins et place ses pieds sur les étriers.
— Ma… demoiselle ?
Elle a un petit sourire timide mais elle respire trop rapidement, comme si elle avait le trac. Son sexe s’offre à ma vue : une fente légère, rosée, bordée d’un duvet de poils châtains.
— Je vous laisse faire.
Je suis perdu. Je jette un œil à la fiche de la patiente. Une seule phrase :
— Sonia : la langue fera l’affaire… Je fronce les sourcils.
— La langue ?
J’ai parlé tout haut, incrédule. La demoiselle écarte davantage ses jambes fines.
— Oui, ce sera très bien. Venez.
Je me place devant elle, osant à peine la regarder.
— À genoux, ce serait mieux, non ?
Le choc est total. Je comprends ce que ma mère attend de moi. Je dois « détendre » sa patiente. Pour ...
... son examen génital.
— Vous êtes sûre ?
Elle sourit silencieusement et écarte simplement les cuisses un peu plus. Je m’agenouille. Son minou est devant mes yeux, fente entrebâillée. Elle soupire et frémit. Je déglutis, hypnotisé par les poils ras du premier sexe de femme que je vois d’aussi près. Je prends conscience de la peau ferme des grandes lèvres, du clitoris bourgeonnant, de l’effet que cette vision inattendue a sur mon ventre, sur ma queue, tendue à craquer dans mon pantalon serré. Les mains de mademoiselle Sonia se posent délicatement dans mes cheveux et m’attirent à elle.
Je n’ai plus le choix. Mon nez se love au creux de sa moiteur féminine, puis ma langue ; la saveur suave, salée, m’enivre. Sonia s’ouvre ; mes papilles se gorgent de son jus intime, mes lèvres pressent le clitoris qui darde parfois, ma langue s’enfonce dans ses chairs roses, mon nez caresse ses poils courts et drus.
— Ooh… Ooh… C’est ça…
Mes bras s’enroulent autour de ses jambes douces ; Sonia a rejeté la tête en arrière. Ses gémissements se mêlent à mes halètements, puis mes mains montent vers ses seins qu’elle offre à mes caresses en écartant son soutien-gorge. Deux petites pommes glacées et pointues roulent sous mes paumes ; je la suce de plus belle, avec une énergie redoublée.
La voix de ma mère me fait sursauter.
— Ça ira comme ça ; merci, Thomas.
Je me relève d’un bond, le cœur au bord des lèvres. Elle nous a vus ! Elle va remarquer mon érection !
— Maman, je…
Elle ...