1. Le préparateur - 1


    Datte: 24/11/2020, Catégories: h, fh, jeunes, cadeau, noculotte, Auteur: FloreanMC, Source: Revebebe

    ... voulez-vous que je vous car… que je vous masse le… euh… la…
    
    Elle rit. Ses seins se soulèvent en rythme sous son chemisier. M’hypnotisent. Je voudrais les voir ! Elle me fixe, amusée. Comment n’ai-je pas remarqué ses taches de rousseur ? Ses dents, comme des perles ? Ses lèvres fines et sensuelles ?
    
    — Si jeune… Non : reste juste là, bien devant moi ; ce sera parfait.
    
    Elle plaque la main sur son sexe et se masturbe lentement en ne me quittant pas du regard. Ses yeux parcourent mon corps. S’arrêtent sur mon pantalon. Ses doigts se focalisent sur son clitoris, dans une valse à trois temps, lent-rapide-rapide, lent-rapide-rapide…
    
    — Mmmm… C’est presque ça… Montre-le-moi.
    — Quoi ?
    — Ton sexe. Ta queue. Popaul.
    
    Elle pointe le menton vers mon pantalon. J’ai le vertige quand j’ouvre ma braguette. Elle se touche de plus en plus vite.
    
    — C’est ça, baisse ton slip ; montre-le-moi, ton joli petit… oh…
    
    Le vertige s’intensifie. Je ne sais plus où je suis ; ma vision est emplie de ses mains qui entrent et sortent de son vagin. Ma queue est tendue devant moi, et Élisabeth semble la trouver à sa convenance. Je veux tellement me branler en la détaillant de haut en bas ! Mais j’esquisse à peine un mouvement vers mon bâton dru avant qu’Élisabeth ne m’arrête d’un geste.
    
    — Non, ne te touche pas, laisse-la : je veux la voir tout entière. Viens !
    
    Je fais un pas, la queue tendue à craquer ; je vais me jouir dessus, j’ai le ventre tordu à en mourir…
    
    — Approche ...
    ... encore…
    
    Je suis dans le cercle des étriers, à trente centimètres de sa chatte ouverte ; je n’en manque aucun détail : la douce texture, la molle moiteur… Vingt centimètres. Je sens l’air que déplacent ses mains en tournant et tournant encore sur son sexe trempé…
    
    — Stop !
    
    Je m’arrête net. Elle me sourit, halète ; je n’ai qu’un coup de reins à donner pour la prendre, pour me déniaiser vraiment. Je suis paralysé. Je n’ai même pas le droit de me toucher, ma queue me fait mal…
    
    — Ooooh… C’est ça…
    
    Elle se tend sous ses doigts, les muscles pétrifiés, le visage crispé ; ses yeux sont implorants et souriants à la fois.
    
    — Oooooh… C’est ça…
    
    Elle chuchote et se tend, tremblante ; mais sa voix a l’effet d’un hurlement sur mon ventre. Ma queue bat dans l’air ; je voudrais qu’elle m’attrape, qu’elle me branle, qu’elle me termine…
    
    — Ouuh… ouuh…
    
    Elle jouit en saccades, ses yeux plantés dans les miens, souriants, un peu vides. J’ai envie de l’embrasser ; je me penche, je sais qu’elle va me laisser faire, nos lèvres se touchent presque…
    
    Par miracle, cette fois j’entends la porte s’ouvrir, je ne suis pas pris par surprise. Ma mère a fini avec la jeune Stéphanie ! Je me redresse d’un bond, je recule et remonte mon pantalon dans la foulée. Je me retourne, ferme ma braguette et suis rhabillé avant qu’elle n’ait le temps de passer la porte. Mon cœur tambourine dans ma poitrine, je me sens chaud et rouge de honte.
    
    Je l’ai échappé belle !
    
    — Cela s’est bien passé ?
    
    Élisabeth ...
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