Plaisir et soumission
Datte: 22/11/2020,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
jeunes,
médical,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
cérébral,
Masturbation
nopéné,
sm,
inithf,
hsoumisaf,
Auteur: Bastian, Source: Revebebe
... » ? Ou bien est-ce que j’aurais joui de toute façon, ayant passé le point de non-retour ? Je ne le saurai jamais. En tout cas, le résultat est immédiat et fulgurant : d’un coup, je sens mon sexe se dresser, et sans que je ne puisse rien contrôler, un puissant jet de sperme me vient directement sur le bas du visage.
La sensation est indescriptible : mon sexe est là, dressé, dans le vide. Et pourtant, il vibre et s’agite tout seul en l’air, comme s’il était animé d’une vie propre. Et moi je jouis, je jouis comme jamais, le bas du corps secoué par de violents soubresauts de plaisir. Un deuxième jet presque aussi fort que le premier vient s’écraser sur mon bureau. Un troisième un peu plus faible finit sur ma chemise. Puis plus rien, si ce n’est une grosse goutte de sperme qui vient former une perle blanchâtre au bout de mon gland.
Je reste là, dans un état de sidération absolue. Avachi sur ma chaise, j’ai chaud, mes oreilles bourdonnent et je sens mon cœur tambouriner dans ma poitrine. Je ne comprends pas ce qui s’est passé : jusqu’à présent, j’avais toujours joui « normalement », c’est-à-dire par l’intermédiaire d’une stimulation physique, quelle qu’elle soit… Alors que là, j’ai vu, de mes yeux, mon pénis se tordre dans les airs tel un gros ver de terre, et éjaculer trois fois sans le moindre contact physique. Le tout m’ayant procuré l’un des orgasmes les plus puissants de toute ma vie. Et le pire, c’est que je sens que l’excitation est encore là, alors que d’ordinaire, ...
... après une bonne branlette, je suis aussi amorphe qu’un bernard-l’hermite hors de sa coquille. C’est à n’y rien comprendre ! Au bout de quelques instants, c’est la douce voix du docteur Liane qui me sort de ma torpeur :
— Hmm… Je devine que ça a été intense.
Je ne réponds rien. Je me sens… je ne sais pas trop. Épuisé ? Satisfait ? Vaguement. Mais aussi honteux. Sale, et pas seulement à cause du sperme qui me coule sur la joue, et que j’essuie d’un revers de main.
Le docteur Liane reprend :
— Est-ce que c’était agréable ?
J’ai la gorge sèche. Je déglutis avec difficulté, avant d’essayer de trouver mes mots :
— Je… je ne sais pas trop… C’était bien… Enfin je crois…
— Essaye de décrire ce que tu as ressenti. Es-tu satisfait ? Frustré ? Encore excité peut-être ? me demande-t-elle.
— Oui… je ne sais pas… Un peu de tout… C’est… bizarre.
En effet, cette fois-ci, j’ai éjaculé, c’est indiscutable ! Et pourtant, je vois bien que mon sexe est encore bien dur, et j’ai bien l’impression que si je me masturbais à nouveau, je pourrais jouir encore sans aucun problème.
— Ce que tu as vécu s’appelle un orgasme ruiné, me dit-elle d’un ton posé. C’est une sensation absolument unique, n’est-ce pas ?
— Un orgasme… ruiné ? je demande, d’un ton ingénu.
— Oui… Tu étais sur le point de jouir, mais je t’ai fait tout arrêter juste avant que tu éjacules, mais suffisamment tard pour que tu ne puisses plus te contrôler et l’empêcher. Et tu as pu découvrir un mélange unique de ...