1. Plaisir et soumission


    Datte: 22/11/2020, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, médical, hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, Masturbation nopéné, sm, inithf, hsoumisaf, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... le pénis. Comme je l’espérais, elle m’invite alors à me dévêtir et à aller m’allonger sur sa table d’auscultation pendant qu’elle jette un œil aux radios que j’ai apportées. Ce que je fais avec plaisir, même si je me sens un peu honteux de bander avant même qu’elle ne me touche (et aussi un peu excité, je dois bien l’admettre).
    
    La doctoresse n’a absolument pas l’air surprise devant l’érection majestueuse qui l’accueille alors qu’elle me rejoint.
    
    — Eh bien ! Effectivement, vous m’avez l’air très en forme ! me dit-elle dans un sourire.
    
    Et elle ajoute, taquine :
    
    — Il fallait prendre rendez-vous plus tôt si vous étiez si pressé de me revoir…
    
    Je sens le rouge me monter aux joues, et je ne sais pas trop quoi lui répondre. Heureusement, elle poursuit, tout en me saisissant le sexe du bout des doigts :
    
    — Effectivement, sur les radios, les nodules sont vraiment minuscules, on les voit à peine. Et on les sent à peine également, en tout cas moins que la première fois… Et vous dites que vous ne ressentez plus aucune gêne en érection ?
    
    Je lui réponds que non, plus de gêne ni la moindre douleur.
    
    — Bon, et ben c’est très bien ! dit-elle en retirant sa main. Je pense que l’échographiste avait raison : sans doute une cicatrisation qui s’est mal faite, suite à un choc, et qui a amené ces quelques calcifications.
    
    Elle me regarde un instant en souriant, alors que je suis toujours à moitié nu et que je bande plus que jamais sur la table. Il s’en suit un petit instant ...
    ... de flottement, pendant lequel je dois avoir l’air particulièrement idiot, puisqu’elle ajoute tout à coup :
    
    — Oui, on dit un échographiste. L’échographe, c’est l’appareil que l’on utilise pour faire l’échographie.
    
    Je reste interdit, ne sachant quoi faire ni quoi dire. Du coup, elle est obligée de me signaler que je peux me rhabiller. J’ai l’impression de me réveiller d’un coup, et je remonte rapidement mon caleçon et mon pantalon, pendant que la doctoresse retourne à son bureau.
    
    — Je vais quand même vous prescrire quelque chose afin de faciliter la cicatrisation, me dit-elle une fois assise, en me tendant une ordonnance. Je m’acquitte des vingt-trois euros habituels et la remercie avant de quitter son cabinet, à la fois un peu gêné, car j’ai clairement espéré/attendu qu’elle vienne palper mon pénis comme la première fois, et je pense qu’elle l’a bien remarqué ; mais aussi un peu déçu qu’elle ne l’ait finalement pas fait !
    
    Je file directement à la pharmacie qui jouxte le cabinet du docteur Liane et, encore perdu dans mes pensées, je tends machinalement l’ordonnance à la préparatrice qui m’accueille avec un grand sourire.Plutôt jolie d’ailleurs, me dis-je,elle doit avoir mon âge, ou pas loin. Je la vois hausser un sourcil en lisant l’ordonnance, avant de passer côté boutique, et de se diriger vers le rayonnage dédié aux préservatifs et autres gels intimes.
    
    — Voilà ! Par contre, ça sera pas remboursé… me dit-elle en posant sur le comptoir un énorme flacon d’un litre ...
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