1. Plaisir et soumission


    Datte: 22/11/2020, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, médical, hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, Masturbation nopéné, sm, inithf, hsoumisaf, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... chuchotant presque.
    — Oui, madame, elles sont bien pleines ! je lui réponds d’une voix forte.
    — C’est très bien. Tu fais du bon travail. Vraiment. Et maintenant, tu vas avoir droit à ta récompense. Tu vas te branler plus vite, plus fort. Je veux que tu te rapproches le plus près possible de l’orgasme. Mais attention, interdiction de jouir avant que je ne te le dise !
    
    Toujours suspendu à la voix du docteur Liane, j’accélère le rythme. Sa voix est forte et assurée à présent, et elle est beaucoup plus directive :
    
    — Allez, plus vite ! Plus fort ! Hop ! Hop ! Hop !
    
    J’ouvre les yeux. J’ai l’impression que je vais exploser, je sens le sang me battre les tempes mon sexe commence à faire mal à force de bander. Le docteur Liane continue de donner ses instructions infernales, forçant ma main à me branler toujours plus vite et plus fort, mais en même temps, elle me parle afin que je garde le contrôle, me demande de bien de respirer :
    
    — Attention… Pas d’éjaculation… Respire à fond. Souffle. Voilààà…
    
    Je sens que je suis à la limite, il faut que je le lui dise :
    
    — Euh… Madame… Je crois que…
    
    Elle m’interrompt :
    
    — Tututut… Pas avant que je ne t’y autorise. Après le décompte… Une fois arrivé à zéro, tu pourras jouir, pas avant.
    
    Perdu dans ma transe, je réalise tout à coup qu’elle me tutoie. Depuis combien de temps ? Qu’importe. Je me focalise sur les chiffres qu’elle commence à décompter, calmement :
    
    — Dix… Neuf… Allez, courage. Huit… Sept…
    
    Mais c’est ...
    ... interminable ! Si ça ne tenait qu’à moi, cela fait déjà cinq bonnes minutes que je me serais répandu sur mon bureau, je n’en peux plus, j’ai l’impression que mon sexe me brûle, je gémis de plus en plus fort. Le docteur Liane l’entend et m’encourage à tenir encore un peu, elle est presque en train de crier à présent :
    
    — Allez, tu y es presque… SIX… CINQ… Un petit effort…
    
    C’est insupportable. Le mouvement de va-et-vient infernal que j’imprime à mon sexe devient intenable.
    
    — QUATRE… TROIS… Allez, bientôt la libération… !
    
    Et à nouveau, alors que mon sexe est sur le point d’exploser, alors que je m’y attends le moins, elle hurle :
    
    — DEUX… STOP ! JE VEUX QUE TU LÂCHES TON SEXE ! LÂCHE-LE !
    
    Comme un réflexe, je lui obéis, et je lâche immédiatement mon pénis, alors que je suis sur le point d’éjaculer. Et comme la première fois, dans son cabinet, cette sensation d’une jouissance inextinguible : le temps s’arrête, et je suis suspendu dans mon orgasme. Je ne peux refréner un très fort gémissement, presque un cri, seul moyen pour moi d’exprimer ce mélange de jouissance et de frustration, d’extase et de douleur qui me cloue sur ma chaise. J’entends le docteur Liane à travers mon téléphone susurrer d’un air satisfait :
    
    — Voilà, parfait, c’est superbe…
    
    Elle s’interrompt un instant, puis reprend tout à coup d’une voix forte et autoritaire :
    
    — Et maintenant, je veux que tu jouisses ! Tu m’entends ? Jouis pour moi ! Jouis pour ta maîtresse !
    
    Est-ce l’effet de cet « ordre ...
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