1. Un été à Luxey


    Datte: 17/11/2020, Catégories: Première fois Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica

    ... grand décolleté et grâce à la finesse de l'étoffe qui laissait voir mes tétons sombres et dressés. J'ai alors trouvé drôle de moins le ménager, pour associer chez lui la souffrance au plaisir. Son regard collé à moi laissait présager une suite intéressante. J'ai caressé ses cuisses, comme si je cherchais d'autres plaies à traiter. Il bandait. Sa queue certainement mignarde gonflait son slip blanc dans l'entre-jambe du short. Elle voulait sortir mais l'élastique a tenu bon. Je lui ai donné à goûter, même si ce n'était l'heure.
    
    -- Merci madame.
    
    -- Tu peux m'appeler Myriam. Reviens demain, il faudra que je change ton pansement.
    
    Il est parti encouragé par un chaste baiser sur le front. L'après-midi j'ai raconté cette rencontre à Lena. Je lui ai présenté que nous allions nous amuser à faire découvrir à ce puceau timide nos corps de filles et tout le plaisir que nous savions en tirer. Nous avons donc préparé notre affaire.
    
    Victor est arrivé le lendemain, tout impatient de voir changé son pansement. Ce que j'ai fait non sans insister avec l'alcool sur les plaies encore à vif, ce qui me donnait un prétexte pour l'embrasser dans le cou. Je lui ai donné du jus d'orange, il m'a raconté qu'il était seul chez son oncle et sa tante et qu'il s'ennuyait. Il m'a demandé si je connaissais des ruisseaux dans le voisinage pour faire des moulins avec des bouchons, des écorces et du fil de fer. Oui, nous pourrions y aller l'après-midi même avec Lena, pendant que ma tante dormirait ...
    ... comme tous les jours. Il est resté m'aider à peler des pommes de terre et des carottes. Nous sommes sortis, je l'ai mené à la vieille grange.
    
    En approchant, nous avons entendus des cris déchirants comme en poussent les chattes en chaleur. C'était Lena en pleine crise de pseudo-épilepsie. Elle se tenait le ventre, elle bavait, elle criait mais pas trop fort pour ne pas attirer la tante. Elle se roulait sur un vieux matelas un peu moisi et tout décoré de cartes de France de toutes les couleurs. Nous l'avions sorti la veille d'une pièce inoccupée qui servait de débarras et transporté dans la grange.
    
    -- Cette pauvre Lena est en pleine crise. Il faut la soulager. Aide moi à la maîtriser, elle pourrait se blesser, elle s'est tordu une cheville l'an dernier.
    
    J'ai confié à Victor le soin de tenir Lena par un poignet et une cheville. Je la tenais moi-même aussi d'une main pendant que j'ouvrais sa chemisette pour lui retirer son soutien-gorge. Il avait été choisi exprès pour comprimer abusivement ses seins déjà bien développés.
    
    -- Elle va étouffer, il faut qu'elle respire.
    
    Victor était muet, visiblement troublé de se trouver dans cette situation bizarre à tenir une fille hystérique qui se débattait les seins nus.
    
    -- Caressons là, il faut la calmer.
    
    Relâchant les chevilles, Victor et moi avons entrepris de lui pétrir les seins, j'ai montré à Victor comment il fallait lui pincer les tétons.
    
    -- Regarde, ça la détend.
    
    Nous avions répété la scène, et Lena, comme ...
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