1. Un été à Luxey


    Datte: 17/11/2020, Catégories: Première fois Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica

    ... des explications sur les joints qui fuyaient. Dix minutes après, ma chatte était pleine d'une grande goulée de sa crème de mâle.
    
    Pendant que je rêvassais, le voisin transportait des cailloux pour le soubassement de sa terrasse. Sa compagne est arrivée, visiblement toute nue sous une robe légère dont la moitié des boutons étaient défaits. Il s'est emparé de ses seins, ils se sont embrassés fougueusement comme des adolescents à leur première aventure. Nettement plus jeune que lui, elle avait mon âge. Je me suis détournée de cet indécent spectacle qui détruisait tous mes espoirs.
    
    Lena est venue l'après-midi, non sans arrière-pensée puisqu'elle est arrivée à l'heure de la sieste. Notre intimité avait débuté quelques années auparavant lors d'un orage nocturne. Effrayée par le fracas que la foudre qui tombait dans les environs toutes les cinq minutes, Lena s'était blottie dans mon lit, tout contre moi, le visage enfoui dans mon cou pour ne pas voir les éclairs.
    
    -- Protège-moi!
    
    J'ai empaumé son abricot dodu et glabre.
    
    -- Comme ça les éclairs n'atteindront pas ton minou.
    
    -- Serre-moi fort! dit-elle sans préciser si c'étaient mes bras ou ma main qui devaient la serrer.
    
    Les orages sont fréquents l'été dans les Landes, et j'ai eu bien d'autres occasions ensuite de protéger son minou des éclairs et même, en l'absence d'orage, des éclairs qui
    
    auraient pu survenir
    
    .
    
    -- Tu ne crois pas qu'il va y avoir de l'orage?
    
    C'était notre code, notre " cattleya ". ...
    ... Nous nous invitions ainsi à de longues siestes durant lesquelles nous inventions des caresses que nous pensions nouvelles, et nous posions des baisers mouillés dans tous les replis de nos corps excités. Les siestes et les soirées sont devenues de plus en plus chaudes et les baisers nouveaux, plus difficiles à inventer, ont laissé place aux claques, aux pinçons et aux morsures. Le jeu consistait à supporter le plus longtemps possible les agaceries infligées par l'autre. L'excitation aidant, je ne m'arrêtais pas toujours de claquer ses belles fesses rondes au signal convenu, et je continuais, sans m'impressionner de ses cris, jusqu'à la venue des larmes. De vraies larmes que je m'appliquais ensuite à boire au coin de ses paupières. Je passais un gant mouillé d'eau fraîche sur ses fesses que j'avais peut-être un peu trop rougies, et ma langue réparait le dommage en patinant amoureusement son œillet. Nous nous sommes aussi très souvent branlées comme des folles jusqu'à en avoir les boutons tout brûlants. Dix-neuf orgasmes en deux heures, tel a été mon record.
    
    Lena était venue me retrouver chez la tante. Nous avons repris ces jeux quelques jours, et puis, nous avons fait la connaissance de Victor. Tout a commencé par une chute de vélo, à 20 mètres de la maison. Je l'ai fait entrer. J'ai désinfecté ses plaies en cherchant tout d'abord à lui éviter le plus possible la brûlure de l'alcool. Mais j'ai remarqué qu'il avait les yeux fixés sur mes seins, bien visibles à la fois par un ...
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