Un été à Luxey
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
Première fois
Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica
... prévu, s'est mise à respirer profondément. Elle conservait les mains sur le ventre et ses cuisses repliées.
-- Il nous faut l'allonger.
Ce que nous avons fait non sans peine. Je lui ai retiré la culotte et j'ai glissé ma main sous sa jupe. Je ne lui avais pas ôté sa jupe. Pas tant par souci de sa pudeur juvénile que pour ne pas tout montrer à Victor dès le premier jour. Je l'ai caressée, de plus en plus fort et de plus en plus vite jusqu'à un grand orgasme interminable qui a tiré un cri viscéral du plus profond de ses entrailles. Les spasmes de son ventre, les tremblements de ses cuisses et les cris était bien entendu exagérés à plaisir.
Lena a très bien joué son rôle d'hystérique. Elle a ensuite fait l'épuisée et elle s'est mise à pleurer. Victor et moi avons repris la caresse de ses seins et je l'ai embrassée partout sur le visage. Maternellement tout d'abord, mais j'ai fini par un long baiser sur ses lèvres qui attendaient les miennes, palpitantes et gonflées comme celles de son bas-ventre durant nos siestes.
-- Ces crises peuvent être graves, ai-je expliqué doctement. Il est important d'agir vite, autrement la personne peut se faire des contractures musculaires, un torticolis ou même mourir étouffée.
Lena allongée sur le côté, les seins toujours nus, faisait mine de dormir. J'ai baissé sa jupe le plus possible pour mimer la décence, mais cette jupe était courte et ses cuisses blanches d'adolescente grassouillette restaient à l'air.
-- Il ne faut pas ...
... rester sur une excitation violente. C'est très dangereux. Toi aussi d'ailleurs tu m'as l'air bien excité.
Il bandait comme un âne, dans son short trop petit. En infirmière attentive, j'ai posé ma main sur la bosse de son short, et j'ai formulé un diagnostic :
-- Tu ne peux pas rester comme ça, c'est très mauvais l'excitation qui reste bloquée dans les reins. Cela provoque des troubles urinaires.
Je lui ai baissé le short et le slip, je l'ai allongé sur le matelas et je l'ai rassuré en lui montrant Lena :
-- Elle dort.
Tout en le regardant droit dans les yeux, j'ai enduis ma main très calmement d'un maximum de salive et j'ai commencé à branler sa mignonne petite queue. Lentement, sans insister car les jeunes giclent très vite. A sa base un petit début de duvet blond. Elle bandait ferme et droit. Je me suis emparée de ses petites couilles que j'ai comprimées de plus en plus fort, abandonnant un instant le branlage, jusqu'à ce que sorte de sa gorge nouée un petit "Aïe!" étouffé. Il est venu très vite. J'ai essuyé sa liqueur sur le vieux matelas. Une tache de plus. Si les matelas pouvaient raconter leur histoire, on ne s'ennuierait pas à les écouter.
-- Tu te sens mieux hein? C'est l'heure d'aller déjeuner. Ta tante va s'inquiéter.
J'ai effleuré ses lèvres avec les miennes. Lena sortait de sa fausse léthargie.
-- Et les petits moulins? On ira?
-- Oui mon Victor, reviens à quatre heures. Et tu ne parles à personne de la crise de Lena, cela ne sert à rien ...