1. Les émois de Corinne - Prologue


    Datte: 25/04/2018, Catégories: f, ff, fagée, inconnu, forêt, Oral attache, merveilleu, contes, merveille, Auteur: Polyphème, Source: Revebebe

    ... disposées en un totem surprenant d’équilibre au sommet duquel se dressait un gros galet d’un beau jaune d’or veiné de mauve, bien lisse et oblong qu’elle subtilisa avec précaution, pour ne pas disloquer tout le dispositif.
    
    L’endroit était absolument merveilleux, inondé d’une lumière et d’une chaleur qu’elle n’était pas accoutumée à voir en Bretagne… Sous le charme, elle se sentit envahie de pensées légères et languides… Il faisait chaud et il y avait si longtemps qu’elle n’avait pas exposé son corps au soleil… Comme envoûtée par la magie du lieu, elle respira et lentement, en souriant, dégagea son épaule des attaches légères qui maintenaient son décolleté. Sensuellement, elle fit d’abord mollement glisser l’étoffe fluide de sa robe puis tira plus nettement sur la dentelle de son soutien-gorge pour faire jaillir son sein gauche qu’elle soupesa et dont elle apprécia la rondeur et la fermeté. En fermant les yeux, elle effleura du bout des doigts son aréole brune, ce qui eut pour effet de faire se dresser ses tétons.
    
    Elle songea alors aux deux filles et se dit qu’elles devaient être familières des lieux… Elle eut un petit sourire en se disant qu’elle avait peut-être interrompu un tête-à-tête amoureux… Bon. Elles étaient parties. Et après tout, elle ne faisait rien de mal. Et puis sa robe était mouillée. Rougissante mais décidée, elle tendit l’oreille pour s’assurer de n’être dérangée par personne, elle dénuda prestement son épaule droite et libéra son sein droit, offrant ...
    ... voluptueusement à la forêt sa poitrine joliment épanouie. Il y eut une bouffée d’air chaud et deux papillons vinrent se poser chacun sur un téton qu’ils prirent un curieux plaisir à agripper de leurs petites pattes, tant et si bien qu’ils furent très sensuellement érigés et accentuèrent encore son trouble. Lorsqu’ils s’envolèrent, comme satisfaits de leur efficacité, elle se sentit extrêmement désirable et songea qu’elle accepterait volontiers les hommages de quelque faune bien monté…
    
    Elle ferma les yeux. La forêt semblait bercée d’un rythme lancinant et doucement, presque malgré elle, elle se mit à se balancer avec toute la sensualité dont elle se sentait investie. Avec des mouvements lents et extrêmement gracieux, presque chorégraphiés, elle défit son soutien-gorge et le fit tomber sur une grosse pierre, puis, poursuivant son strip-tease, elle fit glisser sa robe jusqu’à la taille, accrochant au passage sa culotte et fit tomber l’ensemble à ses pieds comme une corolle.
    
    Elle était intégralement nue. Elle resta ainsi un long moment, immobile, les yeux clos.
    
    — J’aime l’amour, murmura-t-elle. J’aime qu’on m’aime.
    
    Reprenant doucement ses esprits, elle accrocha sa robe à une branche, ramassa son soutien-gorge qu’elle plia consciencieusement pour le ranger dans son sac et étendit sa culotte mouillée sur une pierre brûlante.
    
    — T’es bien conservée, ma vieille, fit-elle en tournant sur elle-même pour s’inspecter sous toutes les coutures. Tes nichons se tiennent plutôt ...
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