1. Abélia, ou l'impudeur


    Datte: 24/04/2018, Catégories: f, fh, ff, 2couples, jeunes, cadeau, copains, cinéma, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral 69, hsodo, Partouze / Groupe init, confession, nostalgie, Auteur: Silène, Source: Revebebe

    ... sentiments que je n’avais pas su lui avouer à cette envie perverse de sucer une queue qui eût préalablement fouillé ma compagne, de l’excitation du dégoût au dégoût plus grand encore de cette même excitation. Dieu merci, Abélia me rejoint bien vite, tout agitée qu’elle fût, visiblement catastrophée à l’idée que je fusse par sa faute si malheureuse, ne gardant pas moins dans un pli de la lèvre supérieure le signe de son attraction vénéneuse.
    
    La jeune femme me prit dans ses bras, elle m’embrassa tendrement le front, et murmura :
    
    — N’en fais pas tout un plat ! Si tu veux, je les vire… je pensais te faire plaisir… je t’ai entendue plusieurs fois de faire jouir quand je ramène des mecs… j’avais envie partager cela avec toi… tout ça, ma puce, c’était pour toi !
    
    Je savais qu’elle mentait, qu’elle n’avait suivi au fond que la courbe insatiable de ses envies ; mais de nouveau j’étais contre elle, tout contre sa joue et près ses seins, et je sentais son odeur, ressentais sa chaleur, tandis qu’elle me caressait tendrement les fesses, sous ma robe, alors qu’elle m’embrassait de temps en temps dans le cou, sur le front également, comme une jeune mère l’eût fait à une enfant effarouchée par un vilain garçon, je m’accrochai aux illusions des étreintes trop longues, des amours perdues d’avance.
    
    — Tu avoueras que c’est un peu surprenant, dis-je après une inspiration, les yeux fermés, m’enivrant de son parfum.
    
    Toujours près de mon corps elle comprima un petit rire :
    
    — Ah, tu ...
    ... m’as fait découvrir ton monde, ma puce… je voulais te faire comprendre le mien… c’est tout… rien de plus…
    
    J’essuyai une petite larme, et l’embrassai furtivement. Alors, Abélia me demanda ce que je voulais faire, et, me rappelant les regrets de Claire, après une longue inspiration, je fermai les yeux et m’entendis lui dire, le plus simplement du monde :
    
    — Déshabille-moi mon amour… enlève-moi tout !
    — Et les mecs ?
    
    La tête me tournait. Je souris malicieusement et lui embrassai la joue. Alors, Abélia folle d’impatience me plaqua contre la cabine de douche, retira mon haut, fit jaillir mes deux oies, qu’elle embrassa avec fougue. Je me dandinai un peu, fit moi-même glisser la robe, elle tomba à mes chevilles. Mon amante s’agenouilla sans attendre et commença à me baiser les cuisses, ses deux mains bien plaquées sur mon cul. Puis elle remonta de langue le cours de mes mollets, de l’intérieur de mes jambes, et ce jusqu’à l’aine, avant de faire glisser à terre ma culotte en dentelle. Abélia ramassa immédiatement le tissu, le porta à ses narines et me le montra : il était sale, couvert de traces luisantes, blanches par endroits, croûteuses. Je ne trouvai guère mot dire lorsqu’elle passa un coup de langue dans le fond de ma culotte, frotta celle-ci sur la cuisse, puis sur mon con. Toujours habillée, toujours à genoux, elle me regarda d’un air mutin, tira délicieusement la langue, et de bout en bout minaude elle me lécha l’intérieur des grandes lèvres. Elle joua ainsi quelque ...
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