Drôle de métier, drôle de vie
Datte: 13/11/2020,
Catégories:
fh,
religion,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
occasion,
h+medical,
attirautr,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... trop. Mais il avait l’air encore plus malheureux le lendemain, alors je suis retournée le voir pour finir le travail. Cette fois, on est allé jusqu’au bout. Je n’avais pas d’affaire non résolue en cours, et ça a tout changé. J’ai même aimé cette odeur de sueur tenace, sa queue dans ma bouche, ses claques sur les fesses, ses insultes. Il avait dû croire que c’était la sodomie qui m’avait fait fuir, alors c’est moi cette fois qui la lui ai demandée. Et sur un ton qui ressemblait au sien, direct et clair : « Encule-moi à fond ! »
C’était pas mal. Mais je n’ai pas joui. On a recommencé quelques fois après. Je faisais semblant d’être aux anges mais je restais frustrée à chaque fois. Ce n’était pas le type de relation qui me convenait. Je ne voulais pas lui faire de la peine en rompant, alors j’ai attendu qu’il rencontre quelqu’un d’autre. Et nous nous sommes perdus de vue.
Que voulez-vous, je ne peux pas résister à la douleur des autres. Et si je dois payer de ma personne, je le fais. Ainsi va ma routine.
Après ce flic célibataire, j’ai succombé aux avances de quelques autres originaux. Un bûcheron dont l’épouse avait été tuée par la chute d’un arbre. Pas un arbre qu’il avait coupé, non, c’eût été trop drôle : un arbre qui lui est tombé dessus alors qu’elle circulait sur une route de campagne. Pas d’autopsie pour ce genre de cas simple. J’ai bêtement rencontré ce bûcheron dans un bar. Il pleurait, la tête entre les mains. Je suis allée le voir juste pour être polie, le ...
... réconforter. Quand il m’a raconté l’histoire de sa femme, j’ai eu envie de fuir mais je n’ai pas pu m’y résoudre. Alors je l’ai écouté.
Il levait la main toutes les cinq minutes pour demander une autre bière, et il parlait, parlait. Jusqu’au moment où il a été trop ivre pour conduire. Je lui ai proposé de le reconduire chez lui, ce qu’il a accepté. Dans la voiture, il n’a pas arrêté de s’épancher, me disant combien sa vie était vide de sens sans sa femme, combien elle lui manquait. Puis il est devenu plus précis : ce n’était pas sa femme qui lui manquait, mais « une femme ». Il avait de gros besoins inassouvis depuis la disparition de sa moitié et se trouvait trop vieux et trop moche pour draguer.
J’ai essayé de le rassurer en lui disant qu’il trouverait rapidement quelqu’un, qu’il était encore attractif, etc. Il a voulu me le faire confirmer, plusieurs fois. Jusqu’au moment où, arrivés devant chez lui, il m’a carrément demandé d’entrer pour lui tenir compagnie un instant. J’ai refusé poliment, alors il s’est remis à pleurer. J’ai craqué. Je suis entrée avec lui pour ne ressortir que le lendemain matin.
Quel cochon ! À peine la porte franchie, j’avais sa grosse main calleuse dans la culotte et sa langue dans la bouche. Pour une fois, je dois dire que c’était assez convenable. Il ne s’embarrassait pas de fioritures, allait droit au but et maniait son engin comme il doit manier sa tronçonneuse. Sa grosse tronçonneuse. Mais je n’ai pas joui. Il m’a fait du bien partout, ...