1. Drôle de métier, drôle de vie


    Datte: 13/11/2020, Catégories: fh, religion, Oral pénétratio, fsodo, portrait, occasion, h+medical, attirautr, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... plus de la routine. Les criminels déploient des trésors d’ingéniosité pour masquer leurs méfaits et je dois faire preuve de logique, de patience, de méthode et d’opiniâtreté pour donner à la police ce qui lui permettra de confondre l’auteur des méfaits.
    
    Il m’arrive de ne pas dormir, mon cerveau refusant de me laisser en paix tant que je n’ai pas compris quelque chose de fondamental dans une autopsie. Ce ne sont pas les horreurs que j’ai pu voir qui me traumatisent, non, c’est la science qui me rattrape.
    
    Côté vie privée, c’est donc compliqué. Je saute des repas pour travailler. Quand je suis en bonne compagnie au restaurant ou dans une salle de cinéma, il n’est pas rare que je reparte au labo parce que je viens d’avoir une idée qui me permet de résoudre une énigme. Il m’est même arrivé – j’hésitais à vous en parler tellement j’ai honte encore aujourd’hui – d’interrompre des ébats sexuels pour la même raison.
    
    J’avais cédé aux avances d’un flic qui me faisait du plat depuis des mois. On peut dire qu’il était tenace, ce garçon ! Célibataire endurci et, selon ses dires, « bête de sexe », il s’était cassé les dents sur ma froideur à de nombreuses reprises. Tant qu’il se montrait gai et enjoué, tout allait bien. Puis une fois je l’ai éconduit de façon brutale et – allez savoir s’il avait passé une mauvaise journée – il s’est vexé. « Vexé grave » comme diraient les jeunes. Quand je l’ai vu triste et malheureux, j’ai un peu pris pitié de lui. Il souffrait à cause de moi. J’ai ...
    ... horreur de la douleur. Je me suis sentie obligée de lui faire plaisir pour le soulager, et j’ai interrompu mon travail pour aller le rejoindre chez lui.
    
    Effectivement, c’était une bête. Un type baraqué, musclé, qui sentait fort la sueur. Mais l’odeur de sueur n’était rien à côté du bordel dans sa cuisine. Heureusement, son lit était propre et confortable.
    
    Il a voulu me montrer à quel point il était viril, me baisant debout, m’enfilant sa queue dans la bouche à m’en faire vomir, puis me retournant dans tous les sens. Il appréciait les mots crus et me demandait de lui répéter ce qu’il voulait entendre : que je la sentais bien, qu’elle était trop grosse, qu’il me faisait mal… je vous passe les détails. En réalité, je n’étais pas vraiment à ce que je ne faisais que par charité. J’avais hâte qu’il jouisse pour repartir au boulot.
    
    C’est quand il a voulu me sodomiser que l’éclair m’est venu. Il venait de me faire hurler de douleur en enfonçant son engin de guerre dans mon fondement quand j’ai enfin compris que le rosissement excessif des sphincters pouvait trouver son origine dans une intoxication aux opiacés. Et c’était juste au moment où je commençais à prendre du plaisir. Ni une, ni deux : je me suis écartée et je me suis rhabillée en m’excusant platement. J’avais mal du cul ; lui n’avait plus qu’à se finir à la main. Mais mon affaire ne serait résolue que si je pouvais faire les tests, et dans mon esprit ça ne pouvait pas attendre.
    
    S’il m’en a voulu ? Je ne sais pas ...
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