0214 Nuit torride et douce à la fois.
Datte: 12/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... ses attitudes n’ont rien perdu de leur charge virile.
Sa façon de m’attraper par les hanches, de saisir mes chevilles, d’écarter mes fesses, de prendre appui sur mes épaules, de venir en moi, de faire onduler son bassin, d’envoyer de bons coups de reins : sa façon d’exprimer sa mâlitude demeure inchangée.
En fait, entre l’ancien Jérém petit con macho et le nouveau, jeune mâle qui s’ouvre à l’amour, c’est la façon de me faire sentir à lui qui demeure inchangée.
Car, au-delà de la beauté extrême de ce corps et de cette petite gueule de mec à faire jouir d’urgence, Jérém dégage quelque chose de profondément viril. Jérém est un jeune mâle bien couillu, et il a des attitudes, des regards, une présence, qui en imposent. Sans même avoir besoin de jouer au petit macho. La virilité, c’est inscrit dans ses gènes. Elle s’impose comme une évidence. Un mec comme Jérém peut être doux et très viril à la fois.
« Je vais jouir » il finit par lâcher, la voix cassée par la tempête des sens.
« Fais-toi plaisir » je lui lance, tout en pinçant ses tétons pour amplifier et précipiter son orgasme.
Je le vois, je l’entends pousser un soupir long et profond, comme une délivrance de bonheur masculin. Qu’est-ce que c’est beau un mec qui jouit, qu’est-ce que j’aime être témoin, de cet instant, de cette courte absence pendant laquelle son esprit s’évapore, pendant lequel le mec est seul, plongé dans une dimension de plaisir inouï où il est si puissant et si vulnérable à la fois.
Le ...
... bogoss se laisse tomber sur moi, ses doigts glissent nerveusement dans mes cheveux, son visage s’enfonce dans le creux de mon épaule, ses lèvres posent des baisers fébriles dans mon cou. Ses coups de reins espacés, ponctués de râles bien puissants, marquent le tempo des giclées qu’il est en train d’envoyer au plus profond de moi.
L’orgasme passé, le bogoss reste allongé sur moi, enfoncé en moi. Je perçois le rythme de sa respiration accélérée, les battements rapides de son cœur, son front en nage contre ma peau. Pendant de longs instants, il demeure silencieux, il récupère.
« Ça va ? » je finis par lui demander.
« Oh, que oui ».
« T’as du mal à t’en remettre ? » je le cherche.
« C’était terrible ».
« Pour moi aussi… ».
« Jamais, jamais de ma vie j’ai pris autant mon pied qu’avec toi, même pas de loin ».
« Ca me fait plaisir ».
« Je ne sais pas comment tu fais pour me faire jouir aussi fort ».
« Peut-être que nos corps sont faits l’un pour l’autre ».
« T’as pas joui, toi… » fait-il, après une petit silence.
« Non… ».
« Je vais t’arranger ça ».
Et, ce disant, le bogoss recommence à envoyer des petits coups de reins, tout en mordillant et en suçotant mes tétons à tour de rôle. Ses abdos frottent contre mon gland. Très vite, je me sens venir.
« Je vais jouir » je lui annonce.
Mais le bogoss continue comme s’il n’avait rien entendu.
Un instant plus tard, mon orgasme se manifeste par la venue de nombreuses giclées. Des giclées qui, ...