0214 Nuit torride et douce à la fois.
Datte: 12/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... l’une après l’autre, libèrent la tension d’excitation, me vident de toute énergie et me remplissent d’un bonheur physique, mental et spirituel inouï.
Je pousse à mon tour un long et profond soupir de délivrance. Et je me surprends à me dire que celui que je viens de vivre est sans conteste l’un des meilleurs orgasmes de ma vie, si ce n’est le meilleur. Ma découverte du plaisir avec mon Jérém semble être sans fin et tendre vers des sommets de plus en plus délirants.
Jouir longtemps et intensément, jouir jusqu’à l’épuisement, jouir avec le corps, le désir, le cœur, jouir avec l’être aimé : voilà le secret de l’orgasme parfait.
Le bogoss se relève, me sourit. Et son sourire après l’orgasme est un sourire de malade, de malade !
« Qu’est-ce que tu mates ? » il me demande, alors que je fixe ses pecs, ses abdos, et ses poils copieusement trempés de mon jus.
« Ah, tu m’en as foutu partout » il conclut tout seul, en se penchant sur son torse.
« Je n’ai pas pu mieux viser ».
Le bogoss attrape un t-shirt par terre et s’essuie le torse, puis me le passe pour en faire de même. Il revient s’allonger sur moi, et me couvre de bisous enflammés. Il me caresse, me chatouille, joyeux comme un gosse, joueur comme un chiot foufou. Et toujours, sur son visage, ce beau sourire heureux qui me fait fondre.
Petit à petit le bogoss finit par se calmer, la fatigue le gagne. Pendant de longues minutes, nous restons dans les bras l’un de l’autre. En silence. Et au bonheur de le ...
... voir tout foufou après l’orgasme succède un autre bonheur, celui de le voir épuisé, repu, comblé après l’amour.
« Vraiment, jamais j’ai pris autant mon pied » je l’entends répéter tout bas, tout en se laissant glisser sur un flanc, face à moi.
« Même pas avec des nanas ? » j’ai envie de savoir.
« Jamais de la vie ».
« T’as jamais été amoureux d’une meuf ? ».
« Non, jamais. Avec les meufs ce n’était que de la baise. Je ne voulais pas qu’elles s’attachent. Je passais de l’une à l’autre pour me sentir désiré, et pour pouvoir être le mec qui s’était tapé le plus de nanas du lycée ».
« Tu crois que t’aurais pu t’attacher à une meuf ? Je veux dire… après tout, tu aurais pu choisir une nana pour « réviser »… ».
« Je ne crois pas. Tu es la personne avec qui j’ai couché le plus de fois et le plus longtemps, et de loin. Jamais je n’ai fait l’amour à une nana 4-5 fois dans une nuit ».
« C’est vrai que t’es une machine de sexe ».
« Je le suis, avec toi ».
« Je te fais de l’effet, alors… ».
« Il faut croire ».
« Allez, dis-moi, qu’est-ce qui te plaît chez moi ? ».
« Arrête… ».
« Ce coup-ci tu ne vas pas m’avoir avec le sexe, je n’arrêterai pas jusqu’à ce que tu me dises ! » je lance sur un ton joyeux.
Mais le bobrun demeure silencieux.
« Allez, s’il te plait ! » j’insiste, tout en caressant les poils entre ses pecs. Décidemment, je ne m’en lasse pas.
« Ce que j’aime… » il finit par lâcher.
« Vas-y ! » je l’encourage.
« J’adore ta peau ...